Ryan, un garçon de 11 ans qui se prend pour une fille, est suivie au Lurie Children's Hospital, le grand hôpital pédiatrique de Chicago, au sein du service spécialisé "dans le genre et la sexualité" créé il y a un an. Cette clinique est la quatrième de ce type aux Etats-Unis. Elle prend en charge 75 enfants qui présentent une "dysphorie du genre", terme utilisé pour parler de ceux qui ne se sentent pas en adéquation avec leur sexe de naissance… Le plus jeune a 4 ans. Un autre, à 13 ans, hésite sur son identité : un jour il se sent fille, le lendemain, garçon. Le docteur Scott Leibowitz, pédopsychiatre, déclare :
"Et pourquoi pas ? Nous leur disons que ce n'est pas grave. Nous leur expliquons qu'ils peuvent être qui ils veulent, et que cela ne doit surtout pas affecter les autres aspects de leur vie."
Ils considèrent le genre comme un spectre large :
"Notre monde nous enferme dans des concepts binaires. Il faut être un homme ou une femme, un mâle ou une femelle. Mais de nombreux enfants n'entrent pas dans ces cases."
Ce sont ces médecins qui auraient besoin d'une clinique.
e
Une démonstration de plus qu’il ne faut pas obliger à la parité dans les listes électorales, les conseils d’administration!
Avant les psy et les médecins, ce sont les parents qui ne sont pas clairs!
Pauvres malheureux enfants.
bébert
Le philosophe Alain divisait l’Humanité également en 2: les charbonniers et ceux qui ne le sont pas.On peut continuer de la sorte: les cons et ceux qui ne le sont pas etc..
Robin
C’est étrange. Si l’on “soigne” ces enfants dans des “hôpitaux”, même pour leur expliquer qu’en fait ils vont très bien et que tout est normal, c’est qu’en fait ils sont malades, non? La “dysphorie du genre”, n’est-ce pas le signe de leur pathologie? Si l’on comprend bien, on traite dans un établissement des non-malades d’un genre qui n’existe pas, mais qu’il faut aider quand même. Vous n’auriez pas une aspirine?
werther
Oui, ces enfants sont surement malheureux . Il faut les aider à coup sûr, ne pas les condamner. Mais comment faire quand il sont dans les mains de personnes complètement irresponsables et manipulées sans qu’ils s’en rendent compte par des fous furieux adeptes de la folle utopie du genre?
olivier
mais il faut faire une enquête sur ce centre et trouver les parents, faire des statistiques, Féministes,Gay homme gay femme, hétéro ayant des antécédents psychologiques… je suis sûr qu’un tel travail de journaliste aurait des résultats savoureux.
Benoit
On ne nait pas trans comme-çà !
Quels sont les effets des traumatismes sexuels vécus trop jeunes ?
Il y a différents degrés de traumatismes mais on peut dire que, dans le pire des cas, l’agression sexuelle a pour effet de dissocier totalement l’ego de son corps émotionnel ou corps du désir (ce qui nous fait désirer des situations, nous mouvoir, avoir des aspirations. Sans lui, nous serions un peu comme des légumes.)
Lorsqu’une fille ou un garçon est agressé sexuellement, il va ressentir deux émotions fortement contradictoires: d’une part, le plaisir des sens lié à l’attouchement sexuel; d’autres part, le profond dégoût résultant de la situation d’être agressé dans son intimité (si l’action n’a pas été voulue). Si cette «opération» a lieu avant que le processus de la puberté soit terminé, la personne va associer pour longtemps – peut-être pour toute sa vie – le plaisir à quelque chose de déplaisant ou sera marqué par le sexe de l’agresseur. Si du même sexe, son cerveau enregistrera ce plaisir non voulu et pourra se transformer en obsession, l’empêchant d’aller à la rencontre de l’autre sexe.
D’autre part, la manifestation simultanée de ces deux pulsions contradictoires, le désir et le rejet, a pour effet de créer une dissociation chez la victime. Il existe alors deux personnes : une qui est totalement détachée de son corps émotionnel, et une autre totalement identifiée à ce corps. Une des opération secrète de la CIA, la désormais célèbre MK-Ultra, avait précisément pour but de trouver comment générer une dissociation dans la personnalité afin de créer des agents robots qui sont, d’un côté, parfaitement normaux et rationnels et, de l’autre, totalement manipulés – ce qui permettait au gouvernement de l’ombre de créer, par exemple, des assassins programmés à tuer lorsqu’ils recevaient certains signes. Qui ne connait pas aujourd’hui grâce à internet ces histoires de jeunes femmes violées et agressées pendant des années avant d’être envoyées comme esclaves sexuelles auprès de hautes personnalités du gouvernement qu’il fallait corrompre. Ces pauvres femmes étaient tellement dissociées que c’est un miracle si certaines d’entre elles ont réussi à témoigner sur leurs expériences.
Le but des élites mondiales ne serait-il pas de créer une population parfaitement docile ?
Junior
Il est possible qu´il se trouve des enfants ayant ce genre de troubles. Qui se sentent mal dans leur peau. Mais les mettre entre les mains de ces apprentis sorciers, est-ce raisonnable ?
Carlos
Recette éprouvée pour transformer un garçon en fille : avoir deux mères ! cela aide !
http://www.dailymail.co.uk/news/article-2043345/The-California-boy-11-undergoing-hormone-blocking-treatment.html
gipsy
a 13 ans , encore, pourquoi pas mais a 4 ????? comment un enfant de 4 ans peut-il exprimer son mal-etre de sexe ?????
a 4 ans , certes un garcon qui n’a que des soeurs peut demander a sa mere si lui aussi sera une fille plus tard mais de la meme facon qu’il demandera s’il portera des lunettes comme ses soeurs . de là a en deduire qu’il reflechit sur l’adequation de son sexe biologique avec son ressenti psychologique ….
pauvre gosse ! que Dieu ait pitié de lui !
Michel-Ange
La manipulation, le mensonges se trouve aussi dans les termes employés : “de nombreux enfants n’entrent pas dans ces cases.”
C’est faux! Nombreux par rapport à quoi!?
Par rapport au nombre d’enfants existants? Leur nombre est totalement insignifiant!
C’est-à-dire qu’il n’infirme en aucun cas la vision binaire citée plus haut dans l’article.
C’est une technique toujours employée par ceux qui veulent faire passre ce genre d’idées délirantes.
Exilé
@Robin: bien résumé.
Mais…
En France, les troubles de l’identité sexuelle ne sont plus classés dans la nomenclature de la sécurité sociale dans le chapitre des troubles de la personnalité ouvrant droit a une prise en charge en Affection de Longue Durée depuis février 2010.
Depuis 2013, la disphorie du genre n’est considérée comme une maladie que si et seulement si la personne souffre de sa condition transidentitaire. Si elle vit bien sa situation, elle est considérée comme n’avoir aucun trouble mental…
Le problème, c’est qu’il existe bien des phénotypes hermaphrodites, avec des affections (syndrome de Klinefelter, un chromosome X supplémentaire ou syndrome de Turner, un chromosome Y manquant par exemple) comme il existe des particularités de naissance, certains individus naissent avec une structure de cerveau du sexe opposé au sexe gonadique(c’est du domaine des neuro-sciences et non de la psychiatrie).
Or aujourd’hui, on confond allégrement les deux sujets : le transsexualisme fondé sur une réalité physique (qui reste rare, mais qui existe et que nous ne devons pas nier malgré l’hostilité qu’éveille les délires des tenants du gender), et celui d’origine psychique.
benson
Cela fait un an que je suis avec intérêt quotidiennement le salon beige sans réagir.
Je sors de mon silence numérique.
Ce post incite à dénigrer ces cliniques.
Tout a fait opposé au mouvement actuel cherchant à imposer une égalité de genre, à défaut de respecter la dignité de chaque individu en tant que femme ou homme, je suis consterné par ce post.
La disphorie de genre est une pathologie peu répandue et connue depuis longtemps.
Les patients atteints de cette maladie sont à plaindre tant leur mal être est grand.
Qu’ils soient traités et suivis par des médecins je ne peux qu’en être heureux pour eux.
Tous les autres commentaires ne faisant pas de distinction entre ces médecins/malades et les idéologues du genre se laissent aller à la même faute de raisonnement que les pro-genre. Ces derniers s’appuient sur la disphorie de genre pour dire qu’une part importante de la population se sent mal dans sa peau à cause des stéréotypes de genre.
Cet amalgamme relève d’une malhonnêteté intellectuel insuppotable.
Au plaisir,
[Lisez mieux l’article dans lequel les médecins déclarent que “Nous leur expliquons qu’ils peuvent être qui ils veulent”. Il s’agit bien dans cette clinique particulière d’appliquer l’idéologie du gender selon laquelle on peut choisir son sexe.
MJ]
opengl
Ces histoires de se “sentir mal dans son sexe” n’est-ce pas le fait d’oiseux, de privilégiés et velléitaires qui ont du temps à perdre. Celui qui doit gagner sa vie pour se nourrir, se vêtir, élever ses enfants etc.; a-t-il le temps de se tâter le sexe pour s’interroger s’il est affublé du bon ? Il est vrai qu’il existe des cas de malformation , mais c’est un autre problème qui n’a rien à voir avec l’hypocondrie “sociétale” des nantis.(voir le post d’Exilé ci-dessus)
Jean Theis
Cette pathologie, rarissime avant, se propage actuellement comme une épidémie parce qu’on ne cesse d’en parler !
Les enfants comprennent à moitié, ou même seulement à 10%, ce que ressassent les adultes et du coup ils en tombent malades !
Stephe
Comment gagner aisément de l’argent en blouses blanches.
DUPORT
Et moi je me prends un jour pour Napoléon,
Un jour pour Vercingétorix
Et un jour pour Louis XIV…
“Et pourquoi pas ? Vous me dites que ce n’est pas grave. Vous m’expliquez que je peux être qui je veux, et que cela ne doit surtout pas affecter les autres aspects de ma vie.”
“Notre monde m’enferme dans des concepts binaires. Il faut être moi ou Napoléon. Mais nous sommes nombreux à ne pas entrer dans ces cases.”
Bref il me faut aussi Vercingétorix et Louis XIV !
Alors docteur Scott Leibowitz ce n’est vraiment pas grave ?
professeur Tournesol
D acord avec Exilé, il faut distinguer les transgenres dont le sexe biologique est ambigu et ceux dont le problème n est que psychologique. Je pense qu il faut respecter ces personnes, mais le problème est que les theoriciens du genre veulent generaliser ces exceptions qui confirment la regle.
professeur Tournesol
@ Benoît
d accord sur l incidence eventuelle d agression sexuelles sur les enfants sur leur future sexualité. Par contre vous semblez confondre homosexualité et transsexualité, tombant dans le piege des “genristes” qui melangent tout. Un homme se sentant femme peut etre attiré par les femmes, il sera donc un heterosexuel se croyant lesbienne. À l inverse l immense majorité des homosexuels n ont pas de problème d “identité de genre”. L attirance sexuelle concerne le rapport avec autrui, non sa propre identité. Je connais peu de lesbiennes, par contre les “gays” que je connais n ont pas envie d être femmes. Certains sont il est vrai effeminés, d autres non, qui parfois cultivent une apparence virile : barbe, cheveux tres courts…
senex
Il faut tout de même reconnaître qu’en France les pédo-psychiatres sont hostiles aux mariages homo et autres bricolages. Ils sont très prudents dans cette affaire de genre. Ne généralisons pas….
Elégant
Un seul commentaire:
Retour vers l’obscurantisme.
Magikbus
traduction : les gosses dès l’age de 4 ans sont la propriété de l’Etat ,donc c’est normal d’en faire des cobayes à manipuler comme du bétail pour cinglés de laboratoire qui semblent plus proches des nazis idéologistes tortionnaires eux aussi pour les bonnes causes médicalisées pour tous !