Lu dans Présent :
"Dans un article paru dans le dernier numéro de Science et Vie, quelques lignes d’actualité médicale soulèvent un pan du voile qui recouvre des vérités difficilement audibles : la contraception féminine à base de progestérone faciliterait la transmission du VIH.
Une étude a en effet été menée en Afrique sur 3 790 couples dont l’un des membres est séropositif, et a montré un doublement du risque de transmission au partenaire, homme ou femme… Jared Baeten explique cet effet notamment par « une modification de l‘épithélium génital féminin, qui favoriserait la réplication du virus ». Si le constat est encore à valider pour les pilules œstro-progestatives, l’augmentation dans le cas de contraception à base de progestérone est largement significative et pose problème à l’OMS qui va devoir décider si elle modifie ou non ses recommandations sur la contraception dans les pays fortement touchés par le sida.
Une consultation technique qui rassemblera un groupe multidisciplinaire d’experts aura lieu les 31 janvier et 1er février, selon un communiqué de l’Organisation. Afin de « réexaminer la totalité des données sur les effets potentiels de la contraception hormonale sur l’acquisition du VIH, la progression de la maladie, et la transmission aux partenaires sexuels ». Et « de déterminer par consensus » si les recommandations doivent être ré-évaluées… Le résultat peut être intéressant."
incongru
et on critique la méthode “papale”, qui pourtant n’induit pas en erreur, juste un peu dérangeante pour certains
Noe
Les médias racontent beaucoup de bêtises à propos du VIH dont la responsabilité dans le déclenchement du SIDA n’est pas pas prouvée. Voilà encore une manipulation de l’opinion publique qui aura causé des millions de victimes, faute d’avouer les véritables raisons de l’effondrement du système immunitaire qui n’ont rien à voir avec un rétro-virus connu depuis fort longtemps, sans qu’on y ait vu la cause d’une nouvelle maladie sexuellement transmissible. En attendant le SIDA a été à l’industrie pharmaceutique ce que l’euro a été aux banques d’affaires, c’est à dire une affaire fort juteuse consistant à vendre des remèdes plus mortels que la maladie elle-même.