Lu ici :
"Dans la nuit de mardi à mercredi, l'église Saint-Michel a été taguée par des inconnus. La mairie a rapidement réagi, ce matin, en sablant et en faisant effaçer les inscriptions telle que "No gods, no masters" par les services de la voirie."
Oktavius
Pas plus de commentaires dans l’édition de ce matin ! A part un rappel de l’action municipale dans ce domaine. Seul est pris en compte l’aspect matériel.
Peut-on imaginer le tollé si cela avait concerné une mosquée ?
Le porte-parole de l’archevêque, si prompt à défendre le piss-christ http://www.dijonscope.com/012796-piss-christ-vandalise-cette-attitude-dessert-la-religion-catholique-nbsp
ou à monter sur ses grands chevaux est resté muet !
“Les services de la voirie interviennent dès que nécessaire pour enlever dans l’espace public, ce type d’inscriptions qualifiées de « dégradations », sur le plan pénal. Les policiers interpellent régulièrement les auteurs de tels comportements, sanctionnés par la justice.
Sur le plan légal, le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sur les façades, les voies publiques ou le mobilier urbain, fait encourir une amende de 3 750 €, si le dommage est léger, ainsi qu’un travail d’intérêt général. Lorsque le tag a détérioré le support, le contrevenant encourt deux ans de prison et 30 000 € d’amende, sans compter la sanction, sur le plan civil (dommages et intérêts, frais de justice…)”
Georges
Encore un message de bon sens que vous dissimulerez : claironner un simple tag, lui donner une publicité, est d’une part complètement ridicule, d’autre part complètement irresponsable dans la mesure où cela peut provoquer aileurs son renouvellement.
Simon
“Ni Dieu, ni maître”…
Leur maître, c’est le diable !