En août, Sabrina Hout, maire adjointe à la Famille à Marseille, a refusé de célébrer une union entre deux femmes. Un simple conseiller municipal, sans pouvoirs légaux, l'avait remplacée. Le mariage devrait être annulé et l'adjointe au maire a été contrainte de démissionner.
Le parquet de Marseille pourrait se contenter d'un simple rappel à la loi à l'ex-élue.
De leur côté, les deux femmes souhaitent «aller jusqu'au bout» de la procédure judiciaire et veulent que l'élue paye pour cette faute.
Le totalitarisme LGBT ne supporte pas l'objection de conscience.