C’est le résultat d’une étude scientifique publiée dans la revue BMC Psychiatry :
Dans une étude publiée le 26 octobre 2023 dans la revue BMC Psychiatry, les chercheurs ont démontré que « la prévalence mondiale de la dépression post-avortement est estimée à 34,5% ». Ainsi, une femme sur trois souffrirait de dépression après avoir avorté.
(…) Le revenu semble avoir un impact important. En effet, les pays à revenu moyen ou faible ont enregistré la fréquence la plus élevée de dépression post-avortement avec 42,91%, tandis que les pays plus riches ont enregistré un taux de dépression de 25%.
(…) Mais en tout état de cause, « la dépression post-avortement est largement répandue dans le monde » concluent les chercheurs, en conseillant aux prestataires de soins de santé de « donner la priorité à la fourniture de conseils, de soins et d’un soutien émotionnel aux femmes après l’avortement »
MARIE
Mais deux femmes sur trois sont en pleine forme après avoir avorter, il faut lire dans les deux sens
Philippe Carhon
Cela prouve tout simplement qu’avorter et tuer son enfant n’est pas anodin et a des conséquences…
zongadar
Oui, mais ne sont-elles pas en phase de déni profond ce qui évacue totalement leur souffrance (…jusqu’au réveil) ?
lavergne21
Il me semble inconvenant de vouloir inverser la charge de la preuve : si on était à 3 contre 97, je ne dirai pas le contraire, mais 34 contre 96 !.
Si les femmes ne sont pas dépressives, celà ne veut âs dire qu’elles sont en pleine forme .Il y a plusieurs degrés dans la dépression: je sais de quoi je parle, ayant moi même subi plusieurs niveaux de dépression.
lavergne21
34 contre 66 evidemment
Collapsus
Les deux femmes sur trois prétendant n’avoir pas eu de dépression sont-elles crédibles ? Cela revient à avouer une mauvaise conscience de l’acte abominable qu’elles ont commis. Ce genre de sondage n’est pas exploitable car il fait appel à l’aveu d’une contrition qu’il convient de masquer s’agissant d’un acte irréversible et irréparable.
Australe
Sans compter celles qui en souffriront plus tard lorsqu’elle ne seront plus dans le tourbillon de la vie
A.MOR
Selon une amie anesthésiste c’est plus que cela pratiquement toutes les femmes souffrent.
Certaines comme le souligne Australe souffriront plus tard quand elles ne seront plus dans le déni ou sous influence.
On a appris aux mères à tuer leur enfant ou pour certains à étouffer, démanteler la vie en elles, et ne pas vouloir voir la violence qui envahit la société c’est simplement nier le réel. Croire qu’il n’y a pas de corrélation c’est être aveugle.
Biem
La Charité consiste à « aimer son prochain comme soi-même » ; l’avortement est un geste des plus graves pour la femme, parce que c’est la négation radicale et mortifère de ce qui devrait être le plus proche « prochain » d’une mère.
Que la dépression soit immédiate, ou un long remord rongeant la vie, le résultat sera finalement le même. Lorsque la conscience morale de la mère s’emparera du sujet, quel peut en être le jugement ? La conscience morale d’une mère est celle d’un être humain, projective : « ce » qui est évoqué, « ce » dont la vie aura été détruite, « ce » qui se rend présent dans son système cognitif, prendra dans sa conscience la forme d’un « autre », d’un « prochain ». Dès lors qu’elle aura eu conscience d’être enceinte, la représentation qui surnagera sera « je n’ai pas laissé à mon enfant la possibilité de grandir ». Ceci, quel qu’en aura été le développement physique : sur le plan moral, et pour la mère, cette question est indifférente.
La prévention de l’avortement est du même impératif que la prévention du suicide : ne pas intervenir, rester indifférent et banaliser le geste, relève de la « non-assistance à personne en danger ». Un avortement est une bombe à retardement morale et psychologique, qui peut attendre des années avant de se manifester. « Tu ne tueras pas » n’a pas pour fonction de protéger la victime, ces pauvres anges vont droit au Paradis ; le commandement a pour fonction de protéger l’âme du meurtrier potentiel contre son destin maudit. « Mon châtiment est trop lourd à porter. Voici que tu me chasses aujourd’hui… » (Gn 4:13)
Pour une femme, l’avortement est la plus mortifère des offenses, parce que c’est une violence faite sur elle-même, même si elle ne le réalise pas immédiatement. C’est pour cette raison que lutter contre l’avortement, tactiquement, ne passe pas par « ne pas tuer le fœtus »: les partisans de l’avortement ne considèrent pas que cet « amas de cellules » peut être qualifié d’être humain, le message est inaudible. En revanche, la mère est définitivement humaine, et la prévention d’une violence radicale faite à elle-même est un message audible.
La Charité consiste à « aimer son prochain comme soi-même » : le prochain du public est la mère, pas le fœtus, il faut défendre la mère pour avoir un message audible.
Cipous
les militaires disent que quand on tue on perd la moitié de son âme.
Quand une femme avorte, elle renie Dieu, elle refoule la Vie, elle refuse l’aide du père ( bon Ok c’est un débat) Mais toujours la date d’avortement est gravée dans son coeur. Et à 50 ans elle se dit, il aurait 20 ans…..
Cipous
– d’abord, une femme porte dans son ADN l’ADN de chacun des hommes qu’elle a connu bibliquement …
– ensuite une femme échange des cellules avec son bébé pendant la grossesse, le bébé envoie des cellules jeunes à la maman tandis que la maman nourrit le bébé, d’ailleurs les mamans de familles nombreuses ont une jeunesse plus longue, je veux dire qu’une maman a l’age de son enfant le plus jeune
– l’allaitement permet au corps de la femme de réduire tranquillement les effets hormonaux de la grossesse, le nourrisson doit passer un maximum de temps sur le ventre de sa mère.
– l’avortement est un tapis de bombes dans un système ultra efficient
– 2 femmes sur 3 admettent qu’elles dépriment du fait de leur avortement , la 3° ne l’admet tout simplement pas. Mais 20 ans plus tard, elle va souffler un gâteau, avec 20 bougies en se disant il aurait 20 ans . Et je suis seule parce que j’ai baisé avec un homme qui ne m’était pas attaché, il m’a engrossé , il est parti, sous la pression j’ai avorté et je suis seule .
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Je dis aux enfants
1 mariez vous
2 mariez vous vierges (hommes et femmes)
3 ne connaissez que votre époux
4 faites l’amour tous les jours matin ET soir même et surtout quand l’autre vous a blessé. Ne laissez jamais une dispute vous éloigner.