Lu sur Le Glaive de la colombe :
Deux ans bientôt que nous sommes embarqués sur une nef de fous désamarrée du réel. Le temps est venu pour ceux qui veulent raison garder de regagner le plancher des vaches et de faire le point sur l’affaire covid-19. Autant commencer par cette histoire, éclairante à plus d’un titre, survenue parmi mes connaissances telle que me l’a racontée le petit-fils d’un monsieur de 94 printemps. Veuf, il menait sa vie sans encombre, sa famille n’étant jamais loin en tant que de besoin. Fin octobre 2020, il fait une chute. Fracture de la hanche. Il est hospitalisé pour recevoir les soins ad hoc puis transféré dans un établissement de convalescence. Il va y passer décembre puis janvier. Mais les « jours d’avant » ne reviennent pas et des douleurs persistantes nécessitent l’administration de morphine. Ses proches autorisés à lui rendre quelques visites, covid obligeant, constatent qu’il est très déprimé. Décision est alors prise de le transférer dans un EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes). La chose est fixée au 22 janvier. Sa fille, venue l’assister, apprend que son père est trop mal en point pour le transporter et aussi, surprise ! qu’il a été vacciné la veille contre la covid-19. Le 26, il est dans le coma. Il meurt le 28, de la covid, selon le certificat de décès. Sur simple conjecture ? Test PCR à l’appui ? Lequel « revisité » et utilisé d’une manière délibérément dévoyée, donne des choses aussi absurdes que les « faux positifs » et les malades en bonne santé (dits « asymptomatiques »). Et l’injection dans tout ça ? Passez muscade. Chose curieuse, dans l’affaire covid, les autopsies qui permettraient d’en savoir plus sur un virus inédit ou sur l’injection d’un produit expérimental (aux USA il a fallu 11000 décès consécutifs à la « vaccination » pour que l’on y recourt, selon Dr Ryan Cole, intervenant au White coats summit en juillet dernier). L’histoire rapportée ici s’achève comme toutes les autres dans l’affaire covid19, par la remise à la famille d’un cercueil scellé avec obligation de procéder à une crémation qu’elle ne souhaitait pas.
En l’espèce quiconque garde une aptitude à penser même modeste butte sur des anomalies flagrantes. A l’ordinaire, l’incubation de la covid-19 demande 3 à 5 jours. Soignée convenablement, l’infection dure 2 semaines, les formes graves sont exceptionnelles et au final la létalité est de 0,05%. Le vieux monsieur, jugé transportable – et vaccinable – le 21, ne l’est plus le 22 et décède le 27. Si coronavirus il y a, soit il est exceptionnellement foudroyant, soit il est déjà déclaré le jour de l’injection. Les soignants sont-ils passés à côté des symptômes ? Sont-ils passés outre, beaucoup semblant fanatiques de cette vaccination ? Je sais un monsieur âgé miné par un lymphome qui nécessite une chimiothérapie tous les 12 jours ; malgré quoi ceux qui le soignent le pressent de tâter d’une injection, là aussi sans rapport avec son état. Outre qu’on ne vaccine pas en période d’épidémie, nommer le produit indifféremment vaccin ou « thérapie génique » en raison de son mode d’action signe l’embrouille. Un vaccin n’est pas une thérapie, il ne soigne pas. Il ne vise qu’à éviter aux bien-portants d’attraper une maladie que l’on sait mal soigner voire pas du tout ; or, les deux personnes dont il est question ici ne sont pas bien portantes. Reste que le dossier médical du grand-père communiqué à la demande de sa famille affirme qu’il a donné son consentement… Pour tout de bon ???
Pour mémoire, à la suite des méfaits du Dr Mengele, l’Association Médicale Mondiale (1964) a posé dans la Déclaration d’Helsinki le principe que tout acte médical doit être soumis au « consentement libre et éclairé » du patient, principe réitéré par la Convention d’Oviedo (1997) et l’article L1111-4 du Code de la santé publique. Il est douteux que celui dont il est question ici, âgé, physiquement diminué, moralement abattu et de plus sous morphine, vivant depuis 4 mois dans l’obéissance aux autorités médicales, ait joui de toute la liberté d’esprit souhaitable. Il répond bien plutôt à ce que dit le Code pénal sur l’extorsion dont la victime est « une personne dont la particulière vulnérabilité due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique » (article 312-2 al. 2). Quant a être éclairé loyalement, ça commence mal quand on baptise vaccin un produit qui techniquement n’en est pas un. Un vaccin est une préparation contenant des germes inactivés d’une maladie afin de mettre l’immunité naturelle d’un organisme sain en défense contre ladite maladie. Sa mise au point demande 15 ans en moyenne et passe impérativement par plusieurs phases dont l’essai sur l’homme est la 3e. Les 4 « vaccins » contre la covid élaborés en un temps record expérimentent quant à eux des techniques inédites. Les producteurs sont peu prolixes sur les résultats des phases 1 et 2. Selon les documents officiels, ils ne donneront ceux de la phase 3 en cours qu’en 2023. Sur ce dernier point, Véran affirme avec son aplomb habituel, que c’est une « fake news » (en français un bobard). On voit par là que l’obligation d’éclairer le patient, le ministre de la Santé s’en tamponne. Ses fonctionnaires aussi. Preuve en est cette fiche d’information rédigée par des médecins honnêtes et que les candidats à l’injection au centre de vaccination de Quimper devaient signer. L’Agence régionale de santé Bretagne a fait retirer ce document. Le patron « maître des horloges » est aussi maître des seringues.
Les anomalies s’enchaînent. Les bistrots sont réputés dangereux mais être hospitalisé pour une jambe cassée – ce qui peut arriver à n’importe qui – expose donc au risque de finir dans une housse en plastique, victime présumée de la covid, « vacciné » de surcroît. A ce qu’il semble l’établissement dans lequel il se trouvait ne jugeait pas utile de protéger ses pensionnaires en misant sur l’immunité naturelle contrairement à ces médecins en EHPAD de ma connaissance qui ont administré des vitamines C et D, comme du zinc. Leurs patients sont sortis indemnes de la « crise ». Ainsi fit le Dr Bourgeon à La Réunion. Il faut croire que la prévention ne figure plus dans la panoplie de l’art médical car il a été convoqué à ce sujet par l’Ordre des médecins. La médecine a donc changé de paradigme. Elle a aussi changé de main. Naguère encore, pour prévenir ou traiter, on consultait son médecin qui auscultait, diagnostiquait et prescrivait librement ce qui lui paraissait approprié. C’est désormais l’affaire des Agences de santé, des « Hautes autorités » de ceci, de cela, du Conseil de défense (et le « secret défense » qui va avec), du Conseil scientifique (muet sur ses activités contrairement aux dispositions légales), de l’Ordre des médecins et autres machins hors de contrôle qui ne voient jamais de patients. Ils fonctionnent en mode post-hippocratique et jugeant la prévention inutile et la covid sans remède, ont imposé la « distanciation sociale » avec un souci du détail qui force l’admiration. Conviés au réveillon Papy et Mamie seront isolés à la cuisine. Gestes barrières pour gagner les toilettes dans un café (le virus attaque les gens debout). Formulaire d’auto-ausweis pour sortir dans les limites autorisées… Officiellement il s’agit d’éviter d’engorger bêtement les hôpitaux dans lesquels la liquidation des lits – et des soignants qui vont avec – se poursuit (1800 depuis janvier 2021). Les offres de service des cliniques privées sont ignorées mais des TGV sont affrétés à grand bruit pour transférer des malades de ci de là. Sauf à oublier la leçon des défunts régimes totalitaires, une bureaucratie proliférante et omnipotente carbure fatalement au mélange Kafka/Ubu.
Ceux qui persistent à imputer ce bazar à l’incompétence – pour se rassurer peut-être ? la bêtise est si banale – s’égarent. A preuve la tragédie-bouffe – ici la bouffonnerie tue – de l’hydroxychloroquine (HCQ). Le Pr Raoult, une sommité mondiale, imité à ce titre en d’autres pays, obtenait d’excellents résultats en soignant la covid 19 avec cette molécule connue de longue date associée à un antibiotique. Utilisée précocement, elle évite l’hospitalisation. Les médias rameutèrent alors des puristes (?) pour condamner ce traitement qui guérissait sans être passé par « des études randomisées ». Seront donc lancées les études Recovery, Discovery (fin mars2020) et Hycovid (avril). Recovery, menée à Oxford en administrant le cocktail Raoult tardivement et à des doses telles (une étourderie sans doute…) qu’elles tuaient, le réputa inefficace et dangereux. Discovery fit long feu. Hycovidportait sur des patients déjà en phase d’hospitalisation au CHU de Nantes mais n’en constatait pas moins l’efficacité du traitement puis s’arrêta là. Enfin, le 22 mai la prestigieuse revue médicale The Lancet publia une étude à charge contre la HCQ. L’escroquerie était si grossière qu’il fallut la retirer. Telle quelle, elle plut à Véran qui pourtant est médecin, neurologue certes, mais flanqué d’un Conseil de défense et d’un Conseil scientifique. Dès le 27 mai, s’associant de facto à des fraudeurs reconnus comme tels, il interdit de prescrire la HCQ. Ce qui pourrait s’appeler mise en danger de la vie d’autrui en bande organisée (article 450-1 du Code pénal). Le 9 février 2021, malgré 193 études en faveur de l’hydroxychloroquine (60 en faveur de l’ivermectine, autre traitement qui a fait massivement ses preuves en Inde, au Mexique, au Japon…), il affirmait encore à l’Assemblée que la covid 19 ne se soigne pas. Un bobard en appelle forcément d’autres. En Martinique où la dengue saisonnière sévit de juin à décembre, il a été décidé qu’elle débutait en décembre. Place au covid et gare aux Martiniquais réfractaires à la « vaccination ». Et pour verrouiller la situation, confiscation des stocks d’ivermectine des pharmacies. Honni soit bien sûr celui qui se rappellerait que la validation d’un traitement pour une pathologie donnée par une agence du médicament rend tout vaccin obsolète.
L’utilité du bobard « y-a-pas-de-traitement » fut de permettre d’incarcérer la population à domicile avec du paracétamol pour tout remède. Et quand survient la suffocation appeler le 15. Terminus dans un service de réanimation où un patient sur deux décède. Dans les EHPAD, du Révotril larga manu en solution finale. Sur l’air de « Méfiez vous les uns des autres », la chorale politico-médiatique va alors interpréter d’époustouflantes « Variations » alternant allegro furioso et moderato cantabile. Confinement, déconfinement, reconfinement, couvre-feu, fermeture des lieux de sociabilité, « jauges ». La messe, le travail, l’enseignement, les réunions en mode 2.0. Et s’il faut affronter un congénère en chair et en os, porter un masque (dont l’emballage précise qu’il ne protège ni des microbes ni des virus), se tenir à 1 mètre et se désinfecter. Nous a-t-on assez répété que c’était bon pour nous que soient restreints l’exercice, indispensable à la santé physique, et les interactions avec nos semblables en chair et en os non moins indispensables à la santé psychique. Simple échantillon des effets induits, une étude menée auprès d’écoliers de Vichy et de Riom constate que leur indice de masse corporelle a augmenté de 2 à 3 points et leurs capacités cognitives diminué de 40%. Les « psys » s’alarment de la recrudescence des troubles psychologiques, des dépressions, des suicides (même « à l’âge où on joue au pokémon », du jamais vu, dit Marie-Estelle Dupont psychiatre). Comment ne pas en conclure que les bénéfices d’une action qui fabrique des névrosés zombifiés, supprime des libertés élémentaires, extermine la classe moyenne et les travailleurs indépendants, sont politiques ? D’autant qu’ils font sens quand on constate l’attrait manifeste de la nomenklatura pour la façon dont le parti communiste chinois contrôle son cheptel humain. « La stratégie chinoise est une grande réussite » selon un rapport du Sénat (3 juin) intitulé « Crises sanitaires et outils numériques ». Ces gens élus pour voter les lois y préconisent le recours aux portails sonores, bracelets électroniques, boitiers autour du cou et autres joyeusetés pour débusquer, tracer, traquer (et bien sûr punir les désobéissants). Là-dessus le site américain BuzzFeed signale que le ministère de l’Intérieur et les services de police français usent du logiciel de reconnaissance faciale ClairviewAI. Le « passe sanitaire » préfiguration du crédit social sauce chinoise…
Que la covid19 ait été qualifiée de pandémie, invite à étendre l’examen. D’autres anomalies sautent alors aux yeux. D’abord les mesures infligées n’ont jamais figuré dans aucun plan de lutte contre les épidémies. Rien de scientifique ne les fonde. Les courbes attestent que le confinement, par exemple, n’a aucune incidence sur l’évolution de l’épidémie. Ce que les promoteurs confirment en affirmant que la situation ne cesse pas pour autant d’être préoccupante . Ces mesures, observe-t-on, ont été promues lorsqu’en mars 2020 Neil Ferguson, modélisateur à l’Imperial College de Londres, a prédit des millions de morts. La simultanéité de leur adoption presque partout intrigue au vu des disparités évidentes en termes de santé de la population, de moyens hospitaliers, de modes de vie, de climat etc., entre le Chili, les Etats-Unis ou la Bulgarie. Autre singularité : quand d’estimables scientifiques osèrent objecter, ils déchaînèrent une hystérie sans rapport avec un débat scientifique fut-il vif. Ceux qui ne furent pas victimes d’une omerta rigoureuse (Pr Ioannidis, Dr Yeadon…), furent proprement lynchés (Montagnier ? un gâteux ; Raoult ? un charlatan, voire un criminel). Les médias à gages (outre les subventions publiques, Le Monde reçoit des gâteries de Bill Gates) sortirent de l’anonymat des confrères souvent plombés par des conflits d’intérêt (8,8 millions € au total pour 96 d’entre eux ) pour jouer les procureurs au nom d’un consensus scientifique inventé pour l’occasion car le dissensus est le carburant du progrès scientifique. BIG GAFAM censura sans pitié tout ce qui sur internet tenait lieu de samizdat. Fait notable, quand l’oracle Ferguson se ravisa, annonçant que l’épidémie ne ferait pas plus de morts que la grippe saisonnière (chiffre officiel 2020 de létalité 0,5% essentiellement des personnes âgées) la narrative débitée partout – et les coercitions qui vont avec – ne cessa nulle part. En toute hypothèse suivrait-elle un script ? Le moment est venu de faire la connaissance du Dr Fauci.
Le Dr Anthony Fauci est directeur de l’Institut de recherche sur les maladies infectieuses (NIAID) rattaché à l’Institut national de la santé (NIH). Depuis Bush père, il est le conseiller santé de la Maison blanche. A son actif, en 1983, lorsque débuta le sida, il lança une OPA sur les recherches, les biaisa pour imposer un traitement à l’AZT qui causa une hécatombe et tenter de priver le Pr. Montagnier du prix Nobel. Les mails publiés récemment laisse deviner son influence à travers le nombre et la qualité des correspondants. Ainsi le Pr Delfraissy, président du conseil scientifique macronien, lui adresse-t-il un quasi rapport dans lequel il l’assure de son indéfectible opposition à l’hydroxychloroquine « malgré la pression ». Robert Kennedy jr, (neveu du président Kennedy, avocat et président de l’ONG Défense de la santé des enfants,) dresse le portrait dans son livre Le vrai Anthony Fauci. Interviewé à ce propos, il déclare : « Anthony Fauci est la personne la plus puissante en matiére de santé publique dans le monde d’aujourd’hui … il a fait [de l’agence de régulation du médicament US] une filiale de l’industrie pharmaceutique … Toutes les contre-mesures [contre le covid 19] que nous avons eues aux Etats-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques et des traitements précoces, la promotion de médicaments sans valeur comme le Remdesivir, toutes ces choses viennent directement de Toni Fauci ». La source de son pouvoir est un budget de US $ 6,1 milliards (plus 1 milliard de l’armée car « il développe des armes biologiques » auxquelles Big Pharma s’intéresse beaucoup). Bob Kennedy pousse ici une porte qui commence à s’entrebâiller. Les recherches que l’armée américaine menait à Fort Detrik sur « le gain de fonction» (autrement dit comment rendre un virus animal dangereux pour l’homme) ayant été interdites par Nixon, ont été délocalisées notamment à Wuhan, un laboratoire P4 que Fauci a subventionné et où, devinez quoi, se retrouvent l’Institut Pasteur, le laboratoire Merck, Bio Mérieux (dont le PDG Stéphane Bancell est aujourd’hui PDG de Moderna… dans lequel Fauci a des participations, ce monde-là est petit…). M. Kennedy décrit ensuite comment Fauci contrôle la recherche médicale aux USA – et par suite au-delà – et corrompt les politiques des pays africains. L’étendue de ce pouvoir sidère d’abord mais il faut pourtant bien y ajouter foi puisque Bill Gates, lui, y croit. En 2000, cet informaticien multimilliardaire reconverti dans la médecine, a invité Fauci dans sa demeure de Seattle en vue d’un partenariat. Aujourd’hui il est devenu le financeur et donc le patron de l’OMS et l’UNICEF. En 2019 il a alloué 100 millions de $ US au NIAID de Fauci. En gros l’affaire covid19 peut se définir comme un sac de nœuds qui dégage une forte odeur d’oseille.
La cargaison de la nef des fous s’avère être un vrac de contradictions, incohérences, mensonges, invraisemblances. Bref des insanités à ne savoir qu’en penser. Les investigations ne peuvent évidemment se mener que sur internet. L’information est en France un monopole d’Etat, relayé par l’AFP qui abreuve tous les journalistes. Bien qu’il soit question d’une pandémie, cette information dépasse rarement l’hexagone. Faudrait pas qu’on apprenne qu’en Australie, un des laboratoires du monde de demain, la ville de Sidney (près de 5 millions d’habitants) est confinée pour 1 cas de covid, qu’on ouvre des lieux de « rétention » et qu’on abat les chiens, ça pourrait donner à penser. Aussi quand Me DiVizio sur un plateau télé demande pourquoi en Jordanie où peu sont vaccinés tout va bien alors qu’en Israël, où tout le monde l’est, rien ne va, la journaliste lui intime : « Restons en France ! ». Manifestement la vérité est ailleurs. Eparpillée façon puzzle, elle abonde sur internet au point que, donner, comme il est d’usage, les références pour chaque fait, chaque nom cités dans cet article remplierait des pages. Nous nous limiterons à renvoyer aux sites « généralistes » où se retrouvent les voix autorisées de la dissidence de France et d’ailleurs (*).. Reste que parmi tant de questions en suspens, la plus intrigante est la docilité avec laquelle des populations entières ont embarqué sur la nef des fous. Retour sur la mort subite de ce grand-père qui ouvre ce billet. La famille indignée a certes osé demander le dossier médical qui n’a pas dissipé ses soupçons. Néanmoins, persuadée de son impuissance, elle a « tourné la page » m’a dit son petit-fils : « C’est leur parole contre la notre ». Convaincre de l’inutilité de toute résistance est une des ficelles courantes des fabricants de consentement.