Venise ne se pose pas de questions métaphysiques sur le déséquilibrisme ou la psychiatrie. Un journaliste demandant au maire ce qui se passerait si quelqu'un venait à crier «Allah Akbar» sur la place Saint-Marc, Luigi Brugnaro a répondu du tac au tac : «Il fera quatre pas et nous l'abattrons».
«Parlons clairement : l'angélisme, c'est terminé».
A la guerre comme à la guerre.