Le nouveau maire de Madrid, Ana Botella, épouse de José Maria Aznar, ancien chef du gouvernement espagnol (de 1996 à 2004), fait l'objet d'une campagne contre elle. Il faut dire qu'elle n'a pas la langue dans sa poche. Lors de son discours d'investiture, elle a déclaré :
"J'éliminerai toutes les barrières bureaucratiques qui entravent l'ouverture d'entreprises créatrices d'emploi dans notre ville".
Ancienne conseillère à l'environnement à la mairie de Madrid, elle ose :
"La planète est au service de l'homme et non l'inverse".
Mieux, elle trouve "le pessimisme sur le changement climatique excessif". Les grands prêtres du réchauffisme vont vite la traiter de négationniste… Si elle critique "les mauvais traitements infligés aux femmes et les inégalités au travail", elle ne croit pas pour autant à la discrimination positive.
Les médias de gauche aime rappeler ce qu'elle avait osé dire en 2004, et qui n'était pourtant que du bon sens :
"Les mariages entre homosexuels ne seront jamais comme ceux des hétérosexuels, de la même manière que deux pommes donnent naissance à une pomme, mais qu'une pomme et une poire ne donneront jamais naissance à une autre pomme."