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Culture de mort : Avortement

Une autre conséquence de l’avortement

Cinq millions de femmes doivent être hospitalisées chaque année dans le monde à la suite de complications d’avortements, et 68000 en meurent dans les pays en développement, selon une étude qui paraîtra samedi dans la revue médicale britannique The Lancet.

Michel Janva

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5 commentaires

  1. Dans les pays développés aussi l’avortement tue aussi les “mères”.
    Combien de mortes ? Combien d’estropiées ?
    Secret, mystère…
    Avez-vous remarqué que l’avortement est le seul acte médical qui ne donne lieu à aucune plainte médiatique. Les suites physiques ou psychiques de l’avortement sont cachées.
    Pas de statistiques pour les pays “développés”…
    Et pourtant elles meurent, elles en restent estropiées… Elles en deviennent folles…
    Moi je connais un cas officiel d’un décès des suites d’un avortement… Mais c’est par hasard.
    Chut ! Secret ! On ne me fera pas croire que c’est fortuit… Il ne faut pas qu’il y ait d’étude publiées sur la question.
    Ne posez pas de question, allez circulez, circulez…

  2. attention, c’est justement un argument pour les pro avortements qui affirment à juste titre qu’un avortement fait dans de “bonnes” conditions est moins dangereux…
    et malheureusement, l’accouchement est aussi une cause de mortalité dans les pays développés et jusqu’aux années 50 les morts en couche étaient très fréquentes.
    Il ne faut donc pas tout mélanger.
    par contre on peut dire que la volonté “d’ humaniser ” l’avortement semble un peu moins médiatisée que celle de sécuriser la naissance.

  3. L’accouchement est devenu beaucoup moins dangereux qu’autrefois.
    Je ne parle évidemment que des avortements “légaux”, pratiqués “dans de bonnes conditions”.
    Sont-ils sans dangers pour la mère ? Evidemment non ! La mère morte dont j’ai connu le cas, avait été avortée “dans de bonnes conditions” par du “personnel formé” etc. Sinon, je ne l’aurais pas su.
    Je ne mélange donc rien du tout.
    Il serait normal qu’il y ait des statistiques sur les suites des avortements “légaux”, “pratiqués dans de bonnes conditions”. Morts, handicaps (dont stérilité), folie…
    Il me semble que c’est l’omerta, la “loi du silence”. S’il existe des enquêtes honnêtes elles sont confidentielles, moi je n’en ai pas connaissance.
    Les avortées ne font pas valoir leurs droits et si elles le faisaient seraient-elle indemnisées ? Ne leur répondrait-on pas “que nous importe, c’est ton affaire !”

  4. et celles mortes des avorteuses avec des aiguilles à coudre ? si une femme doit le faire, elle le fera quoi qu’il en coute, ne mélangez pas tout, et toutes celles sauvées ? A priori pour les hommes c’est de la théorie et l’exception est la règle… o vanitas vanitatem

  5. Vous êtes pour l’avortement légal, soit, ne cherchez pas à oculter que celui-ci est dangereux.
    N’affirmez pas non plus que l’interdiction ne sera pas observée, elle ne sera pas toujours observée, mais vous ne savez pas dans quelle proportion.
    D’ailleurs ce que je dis c’est qu’il n’y a pas d’enquête : une enquête ça vous fait si peur que vous cherchiez à détourner la question ?
    La question n’est pas pour ou contre l’avortement légal, la question est l’avortement légal est-il sans danger ? Y a-t-il des enquêtes sur la question ?
    Pourquoi avoir peur de l’enquête ?

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