Encore un pas vers l’union des droites que les électeurs attendent.
Sans étiquette aujourd’hui après avoir été élu avec le soutien du RN en 2014, Robert Ménard sera invité des universités d’été des Républicains début septembre.
Alors que Les Républicains considèrent qu’ils abordent les municipales de mars 2026 «en position de force», la droite s’est fixé l’objectif de rester «le premier parti en nombre d’élus locaux».
Cela passe d’abord et avant tout, selon Bruno Retailleau, par le fait d’empêcher l’arrivée ou le maintien de «la gauche mélenchonisée». Cela passe aussi par le fait de soutenir, en contrepartie, ceux qui seraient en mesure de tenir le fameux «cordon sanitaire» anti-La France Insoumise.
Une commission nationale d’investiture doit se tenir le lundi 28 juillet prochain pour lancer officiellement la campagne municipale des Républicains, en désignant de premiers candidats. Béziers ne devrait pas figurer dans cette première liste.
Gilles Tournier
Si jamais l’union au second tour permet des victoires de droite ( de droite républicaine, évidemment…) aux municipales et aux présidentielles, donc aux législatives associées, il aura donc fallu plus de 40 ans pour passer par-dessus la soumission de Chirac aux B’nai B’rith.
Ça me paraît trop beau pour être vrai mais la menace LFI devient si forte qu’à toute chose malheur est bon.
D'Haussy
Je pense qu’il faut dynamiter le système gauche droite…