Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, responsable scientifique pour la toxicologie et la pharmacologie respiratoire, aujourd’hui conseiller scientifique de la Fondation Vérité pour la Santé alerte sur les risques que les vaccins à ARN messager font courir quant à la procréation, et particulièrement aux femmes.
« En pensant à cela, j’essaie d’imaginer que je m’adresse à mes propres filles jeunes adultes, pour lesquelles je serais très inquiet si elles recevaient ces vaccins. »
Le Dr Yeadon cite une étude allemande de 2012 sur les nanoparticules lipidiques, celles-là mêmes qui véhiculent l’ARN dans les vaccins Pfizer et Moderna. Les chercheurs de Halle-Wittenberg et de Ratisbonne avaient constaté « une forte accumulation locale de nanoparticules » dans les ovaires de toutes les souris traitées avec cinq systèmes différents de nanoparticules. La conclusion était que cela peut alerter sur « un problème important de toxicité chez l’homme » (mais aussi « pourrait ouvrir un nouveau champ de thérapies ovariennes ciblées »…).
Cela confirme une étude de Pfizer qui a montré que ses nanoparticules s’accumulaient dans différents organes, surtout les ovaires. D’autres études montrent que la protéine Spike présente des similitudes avec des protéines humaines susceptibles d’induire des réactions auto-immunes, y compris des réactions affectant la fertilité.
Le Dr Yeadon rappelle qu’on ne doit jamais donner de traitements expérimentaux aux femmes enceintes. Il qualifie de « stupide et imprudente » la promotion par le gouvernement de ces vaccins auprès des femmes enceintes et des jeunes femmes en âge de procréer. Il dit aussi que des données montrant que 15 femmes enceintes vaccinées ont développé des niveaux trois fois plus élevés d’anticorps contre leur propre placenta ont été rejetées par l’industrie du vaccin et par la santé publique.
Les risques sont trop bien documentés pour avoir été simplement ignorés, résume Yeadon, et il dit aux femmes :
« Ne prenez pas ces vaccins. Il y a un risque grave pour votre capacité à concevoir et à porter un bébé à terme. Pire, il s’agit d’actes délibérés et je pense que leurs auteurs mentent pour le cacher et ils dénigrent les personnes qui tentent de vous mettre en garde. »
Cette semaine, ajoute Life Site, l’agence britannique de réglementation des médicaments (MHRA) a déclaré qu’il n’y avait « aucune preuve » que les 30.304 réactions signalées concernant divers troubles menstruels chez des femmes ayant reçu un vaccin COVID étaient liées de quelque manière que ce soit aux injections. Or ce sont des dizaines de milliers de rapports d’irrégularités menstruelles et de fausses couches qui sont signalés dans le monde.
L’article de Life Site souligne que ce sont des dizaines d’études scientifiques qui ont conclu aux dangers des nanoparticules, et pas seulement sur les ovaires. En 2018 une étude menée conjointement par… Moderna et Astrazeneca et trois autres sociétés pharmaceutiques faisait état notamment d’une augmentation de la production des composants sanguins dans le foie, la rate et la moelle osseuse des rats, des modifications des paramètres de coagulation à toutes les doses, ainsi que des lésions hépatiques, et chez le singe une nécrose splénique et une déplétion lymphocytaire.
Mais il ne faut pas contredire BigPharma :
- Le conseil départemental de l’ordre des médecins de Martinique interdit aux praticiens de l’île d’exprimer une opinion dissidente sur les vaccins. La sanction va de l’avertissement à la radiation. « Il faut que les médecins aient une seule parole », martèle le président.
- Plusieurs pompiers de Haute-Savoie ont été suspendus parce qu’ils n’ont pas présenté un passe sanitaire valide. « Je me suis présenté à la garde et je me suis fait jeter comme un moins que rien, après 21 ans de service. Mon autotest n’a pas suffi », a raconté l’un d’eux. « Il a fallu faire des exemples et on a été les premiers à en faire les frais. » A partir du 15 septembre les pompiers (ainsi que tous les « professionnels de santé ») devront donner la preuve qu’ils ont été injectés au moins une fois.
- Plusieurs universités américaines ont décidé que seuls les étudiants vaccinés pouvaient faire leur rentrée (et les universités catholiques sont en pointe, évidemment). L’université Quinnipiac du Connecticut a quant à elle prévenu que les étudiants non vaccinés seront mis à l’amende jusqu’à ce qu’ils le soient : 100 $ la première semaine, et 25$ de plus toutes les deux semaines jusqu’à 200$ par semaine, jusqu’à un plafond de 2.275$ par semestre… Tant qu’ils ne seront pas vaccinés ils n’auront pas accès au wifi et aux services internet… ni à leurs chambres !