Le premier vice-premier ministre de la fédération de Russie a nommé les grands dangers qui menaçaient la Russie : la pauvreté, ainsi que les problèmes démographiques et sanitaires.
Après avoir connu un renouveau démographique, qui a vu l’arrêt de la baisse naturelle de population et une hausse des naissance (passées de 1,2 millions en 2000 à 1,9 millions en 2016), la Russie connaît un cycle de réduction de population, écho inévitable du creux démographique des années 90.
Pour cette raison sans doute, Oksana Pushkina, vice-présidente du comité de la Douma d’État sur la famille, les femmes et les enfants, a proposé cette semaine de créer un ministère de la politique démographique et familiale en Russie devant permettre une meilleure compréhension des processus qui se déroulent dans la société russe. L’objectif de ce ministère devra être « d’assurer la sécurité démographique » notamment en collectant et analysant toutes les données démographiques, sans lesquelles l’élaboration d’une politique familiale est impossible comme par exemple la fécondité et la mortalité, l’état du système de santé, les mariages et divorces, le nombre de partenariats homosexuels, et analyser la capacité de produire une nouvelle génération, mais et lui fournir une éducation décente.
DUPORT
C’est pourtant simple soit on s’acharne a détruire la famille ce qui est une excellente méthode de destruction d’un pays
soit on cherche à la favoriser et dans ce cas on en récolte tous les fruits.
Faliocha
A la suite de Viktor Orbàn