Parmi toutes les pépites d’aberrations politico-médiatiques que l’on peut entendre dans les informations du matin sur France-Inter, je relève ce jour celle de l’annonce des mesures de diminution de la vente des combustibles « afin de limiter le nombre des incendies de voitures en cette fin d’année » (sic !).
Ainsi va notre France, de plus en plus livrée à la barbarie. L’incendie de voitures y est somme toute devenue une pratique courante, normale, regrettable peut-être, puisqu’on veut la limiter mais tout de même pas si grave puisqu’on ne lit ou n’entend jamais des comptes-rendus de jugement des auteurs de ce délit.
Or, l’incendie volontaire ressort de la catégorie des délits les plus graves et quelquefois du crime lorsqu’il y a « mise en danger de la vie d’autrui ». Mais, à l’évidence, les policiers n’ont plus les moyens de traquer les coupables. Quant aux magistrats, ils ne semblent pas se soucier prioritairement de choses aussi anodines que ces feux de joie. Et tant pis pour les pauvres gens qui devront racheter un nouveau véhicule.
Mais, peut-être ces incendies réjouissent-ils donc les constructeurs automobiles, et plus encore peut-être les idéologues écologistes aux yeux desquels il n’est de pire crime que de rouler avec du diesel comme c’est encore le cas avec la plupart des automobiles de ces maudits pollueurs… Et qu’importe d’ailleurs si les diesels actuels ne polluent pas plus que les autres carburants…
L’important au bout du compte n’est-il pas de faire régresser jusqu’à disparition quasi-totale l’utilisation de la plupart des véhicules ? Mais l’idéal, plus fondamentalement n’est-il pas de débarrasser le plus possible la planète de l’activité humaine ? Car le grand secret initiatique de l’écololâtrie contemporaine ne réside-t-il pas dans la certitude gnostique que l’homme est vraiment de trop en ce monde qui, sans lui, pourrait retrouver la paix et l’harmonie ?
Mais trêve d’ironie. On le sait, chaque époque a certes secrété ses folies idéologiques et le siècle précédent plus que tout autre avec les immenses tragédies que nous savons.
Mais voilà qu’aujourd’hui ce sont les excellentes idées de l’écologie, doctrine politique fondamentalement chrétienne, fondamentalement de droite, qui sont devenues folles, radicalement subverties par la résurgence mortifère d’un nihilisme néo-cathare.
Il n’est que temps d’opposer à cette idéologie pseudo-écologique porteuse des virus de la mortelle décomposition sociétale, les réactions de santé des forces de vie subsistantes.
Puisse l’année qui vient être celle de leur réanimation.
À vous tous donc, amis lecteurs, tous mes vœux de foi, d’espérance, de courage.
Et que notre peuple, combattant les virus de la décomposition sociale et de la submersion islamiste, retrouve des énergies pour la reconquête de sa souveraineté, de ses libertés, de son identité chrétienne et française.
A.F
En théorie du management, ce genre de choses s’appelle “gérer le dysfonctionnement” …
F. JACQUEL
Jusqu’à la 2nde Guerre mondiale, l’incendie volontaire était jugé en Cour d’assise et l’incendiaire encourait la peine de mort.
Aujourd’hui, un jeune qui se défoule en incendiant une voiture ou des poubelles, s’il est identifié et arrêté, fait l’objet d’un rappel à la loi ou, dans le pire des cas, est condamné à une peine insignifiante assortie du sursis. Ce qui revient strictement au même : prêt à recommencer dès que possible…
Meltoisan
Antony a raison ! Une seule solution contre la folie qu’il dénonce : Vite, un vaccin !
SAFFROY
” Et qu’importe d’ailleurs si les diesels actuels ne polluent pas plus que les autres carburants…”
Ce monsieur confond tout :
– diesel = moteur
– le carburant c’est le gazole…