Comme prévue par l’herméneutique de rupture désormais en usage, l’anti-traditionalisme ne s’arrête pas aux restrictions contre l’ancien missel, mais s’attaque à la célébration selon le nouveau missel. L’étape suivante sera-t-elle d’interdire la première prière eucharistique ?
L’évêque de Venice, en Floride, a écrit une lettre aux prêtres en invoquant le motu proprio Traditionis Custodes, dans laquelle il interdit la célébration «ad orientem» pour les messes Novus Ordo. L’évêque a orthographié deux fois « ad orientem » en « ad orientum ». Manque de familiarité avec le sujet ? Ce n’est pas le premier évêque qui interdit la célébration ad orientem du nouveau missel (j’en compte au moins deux autres, mais je dois être loin du compte).
Vous reprendrez bien un peu de cléricalisme (en anglais) :