Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a déclaré lors de la journée de commémoration des victimes du communisme qu’ils sont nombreux, ceux qui en Occident « trouvent encore des excuses aux crimes du communisme ».
« L’Union européenne elle-même hésite à les condamner sans équivoque ».
« Tout cela s’explique par le fait qu’alors qu’un tribunal militaire international a jugé les crimes du nazisme, les représentants du monde libre ne sont pas parvenus à un verdict aussi sévère après l’effondrement du communisme, en réponse à ses crimes ».
« Les Hongrois ont compris qu’ils ne peuvent être libres que s’ils ne renoncent plus jamais à la souveraineté : nous n’aurons d’avenir que s’il est à la fois libre et hongrois – seul un pays de Hongrois libres a un avenir. Pour cette raison, nous devons toujours et tout de suite écraser les œufs de vipère du communisme et du fascisme ».