C’est ce qu’a notamment déclaré le Premier ministre hongrois Viktor Orbán lors de son discours à Tusnádfürdő, en Roumanie
Viktor Orban : “Nous ne sommes pas métissés, et nous ne voulons pas devenir métissés”

3 commentaires
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Reine Tak
Comme on le comprend !
De plus, ce calviniste a compris que le christianisme était un rempart contre la disparition des nations.
Mais le pape François lui fait payer cette volonté de ne pas vouloir que la Hongrie soit envahie par les migrants et il lui a infligé l’affront de refuser d’accorder le statut de visite d’État à son passage de quelques heures à Budapest. C’est un affront pour Orban mais aussi pour tout le peuple hongrois, baptisé catholique à plus de 62%.
F. JACQUEL
La bien-pensance va encore traiter Viktor Orbán de raciste, fasciste, xénophobe…
HG
Si je n’avais pas mes enfants et petits enfants en France, …..je lui demandrais l’asile ( politique, moral, sanitaire, spirituel etc…)