Surnommé par Bernard Lugan le La Fayette d’Afrique du Sud, Georges de Villebois-Mareuil (1847-1900) demeure souvent un inconnu, alors que de nombreuses villes de France possèdent une rue à son nom.
Christian Galvez, auteur d’une demi-douzaine de récits et nouvelles traitant notamment de la sauvegarde de la planète (il a été directeur du développement durable dans une grande entreprise publique) et de l’Algérie française (il a passé une partie de son enfance dans ce pays), s’est intéressé au personnage, colonel, soldat exemplaire, officier apprécié par ses hommes, ayant l’armée chevillée au corps, catholique fervent, qui mit volontairement un terme à sa carrière. Ecrivain, auteur d’études militaires, Georges de Villebois-Mareuil termina sa vie tragiquement en terre sud-africaine, où il prêta main forte aux Boers en guerre contre les Anglais ?
2025 étant l’année du 125e anniversaire de la mort de Georges de Villebois-Mareuil (1847-1900), l’auteur, qui passe très régulièrement devant sa statue à Grez-en-Bouère (trop souvent confondue avec un monument aux morts), nous rappelle ici, en allant à l’essentiel, la singulière destinée de ce héros de la fin du XIXe siècle.