Celle de Julien Dray qui indique que la révision à la hausse des chiffres du nombre de voitures incendiées confirme "l’existence d’une violence inquiétante et qui ne recule pas". Le porte Parole du Parti Socialiste regrette
"qu’il ait fallu attendre que le gouvernement soit sous la pression des révélations d’une radio nationale pour qu’il se décide à communiquer ce rectificatif"
Il pourrait regretter l’inactivité de son parti durant les périodes où il était aux commandes, ainsi que les millions versés au nom de politiques de la ville désastreuses.