Le sénateur de Paris Yves Pozzo di Borgo (UDI) s’interroge sur le traitement des manifestations par le gouvernement et certains médias :
«[L]es violences de Notre-Dame des Landes ou de certains syndicalistes ne sont pas dénoncées avec autant de gravité. Je trouve déraisonnable et idiot que certains manifestants, souvent très jeunes, bousculent des policiers. Cela ne me paraît menacer ni la République, ni la Démocratie. Pas plus que les étudiants de mai 1968. Les déclarations théâtrales de l’exécutif ne rassurent que lui. Je ne suis pas sûr que les Français soient dupes.»
gug
Le gouvernement socialiste cherche à diviser pour affailblir la contestation.
Quand on voit Hollande le minus jouer les vierges effarouchées, on se pince pour ne pas rire.
Quel Taruffe doublé d’un hypocrite!
Il ne faut rien céder, l’UMP le fera pour nous.
Sophie
Manuel Valls essaie de faire oublier ses gazages de femmes, de bébés et de vieillards : c’est vraiment minable !
gipsy
et dire que ce n’est que la partie emergee de l’iceberg! En dessous il y la loi peillon et l’ecole,l’embryon,le gender,le droit sur nos enfants….etc. etc etc
gipsy
et dire que ce n’est que la partie emergee de l’iceberg! En dessous il y la loi peillon et l’ecole,l’embryon,le gender,le droit sur nos enfants….etc. etc etc
gug
Merci à Michel Janva de son dévouement à la cause et pour son superbe blog!
Yvon du Guidon
Les français qui ne manifestent jamais en ont ras-le-bol d’être pris pour des gogos.
La France tranquille est sur le qui-vive et ne lâchera pas, quelque soit l’issue.
Engel
La gauche n’a pas vu venir la nouvelle indignation populaire qui lui échappe. Ces milliers de jeunes indignés qui, en France, défient le pouvoir ont, comme leurs aînés soixante-huitards, des comptes à régler avec la société, dont ils touchent le calamiteux héritage. Mais la gauche n’admet pas que ces contestataires osent rejeter quarante années d’idéologie relativiste.
http://bcove.me/5szopsc0
Ost
Une adresse mail où une réponse est possible :)
sycomore
Qui pourrait croire que le Gouvernement puisse être rassuré aujourd’hui par quoi que ce soit ? Il a peur et il a raison d’avoir peur. En effet, l’esprit aveuglé par l’idéologie, il a lui-même allumé un incendie dont il constate maintenant le caractère pérenne.
En voulant détruire par une loi imposée à la sauvette l’heureuse harmonisation des mœurs construite au cours des siècles et finalement transcrite dans le Code civil napoléonien, devait-il s’attendre à autre chose que ce qui se passe aujourd’hui ? Pensait-il que, pour satisfaire une minorité infime de la population, il allait bénéficier du silence, voire de l’encouragement de l’ensemble du peuple français ?
S’il faut reconnaître que les désordres dans la rue sont détestables car ils vont rendre finalement la France ingouvernable par quelque gouvernement que ce soit, il faut au moins qu’en soient dénoncés les vrais auteurs, les seuls à même, si la sagesse les atteint, d’éteindre l’incendie en abandonnant le projet de loi.
Marino
C’est reparti pour la bataille des mots. Les députés se sont enflammés ce jeudi dans l’Hémicycle à l’heure où le projet de loi sur le mariage pour tous est revenu en deuxième lecture à l’Assemblée nationale. La ministre de la Justice, Christiane Taubira, a ouvert les hostilités en accusant la droite de “transmettre, d’entretenir dans la société” un climat qui “ressemble à un scénario de western, de la catégorie des western spaghetti des années 70”.
Un affront que s’est empressé de dénoncer Guillaume Larrivé (UMP) qui a alors relevé “la vulgarité du propos (…) Nous ne sommes pas des Indiens combattant des cow-boys, les millions de Français qui s’expriment dans la rue ne méritent pas d’être traités comme cela”.
Mais la petite phrase polémique du jour revient sans conteste à Philippe Cochet (UMP) qui n’a pas hésité à accuser la gauche “d’assassiner des enfants” en persistant à vouloir faire adopter le projet de loi. “Ce que vous êtes en train de faire est une brèche qui ne se refermera pas si ce texte passe, c’est une ignominie (….) vous êtes en train d’assassiner des enfants !”, a-t-il lancé, provoquant l’ire des députés de gauche.
Devant le tollé, Claude Bartolone, président PS de l’Assemblée, a dû interrompre la séance. Si, à son retour dans l’Hémicycle, Philippe Cochet a reconnu la maladresse de son propos, reste que l’ambiance est délétère sur les bancs de l’Assemblée…. Et dans les rues de plusieurs villes de France.
Avec dépêches
JB
Cherchez l’erreur…
Ce matin l’immeuble du 2 rue de Presbourg à été recouvert d’affiches et tagué par des ouvriers de PSA s’opposant à la fermeture de l’usine d’Aulnay. Ils ont fait cela en toute tranquilité avant de reprendre leur bus qui les attendait devant le 83, rue Marceau. Aucune arrestation, et pas de CRS dans le quartier..
Ce soir des personnes manifestent pacifiquement sans violence ni dégradation place de l’Etoile. Des mères de famille sont arrêtées par la police, en nombre…
Va comprendre Charles…
torete
Il est bien dommage que Ph Cochet n’ait pas maintenu ses propos car il a raison !
Maintenant, il a eu le courage de leur dire en pleine face la vérité et pour cela il est à féliciter !
anonyme
Assassinat d’enfants, avec tortures préalables.
Car obliger des petits à supporter un environnement contre nature et qui ne correspond pas à ses aspirations naturelles et profondes est bien une torture.
Cochet a dit la chose la plus juste qui ait été dite. Dommage qu’il n’ait pas eu le courage de maintenir.
m
De toute façon en cas de projet non abouti ou de bébé non conforme, l’embryon sera détruite, ou l’enfant à naître avorté, si ce n’est pas des assassinats d’enfants qu’est ce que c’est!
Pour ce qui est des indiens contre des cowboys, nous avons la fierté d’être des indiens et pas forcément mohicans qui combattons sur nos terres ancestrales contre des prédateurs indignes qui veulent nous imposer des lois qui ne sont pas de chez nous et un univers mondialiste.
Finalement C. Taubira si elle croit ridiculiser ses adversaires, se trombe là aussi!
Isabelle
Les ouvriers de PSA ont enfin compris qu’ils avaient le champs libre … et ceux de Notre-Dame des Landes où sont-ils …