Les députés examinent une proposition de loi renforçant les sanctions contre les violences conjugales et porte de 15 à 18 ans l’âge légal de mariage des femmes. Le ministre de la Justice, Pascal Clément, a rappelé qu’une femme sur dix était victime de violences conjugales et que l’une d’elles mourait tous les quatre jours de ces violences. "La France, pays des droits de l’homme, ne peut accepter l’idée même de violences au sein du couple. Avec ce texte nous réaffirmons notre détermination à les éradiquer", a déclaré Catherine Vautrin, ministre déléguée à la Cohésion sociale et à la Parité. Voilà pour les bonnes paroles.
Mais qui, parmi nos députés, osera accuser l’Islam ? Car il ne s’agit pas ici d’éradiquer les pratiques de quelques déséquilibrés, même s’il y en a. Mais de s’opposer à la règle édictée par le Coran : sourate 4, verset 34 :"quant à celles dont vous craignez la désobéissance, (…), frappez les". Ou encore : "prends dans ta main un faisceau de brindilles, puis frappe-la." (sourate 38, verset 44) et "les hommes sont supérieurs aux femmes" (s. 4, verset 38).