3 Roms, qui faisaient l'objet d'un arrêté d'expulsion, se sont exécutés, jeudi, en présence de 2 avocats spécialistes du droit des étrangers et d’un huissier. L'huissier a constaté que les trois Roms avaient bien franchi la frontière franco-belge, à Armentières, dans le Nord. Les 3 personnes sont revenues immédiatement en France. Leurs avocats indiquent que
"la mesure est exécutée, l’arrêté devient nul. Ces personnes peuvent revenir en toute légalité. C’est absurde, mais c’est la loi".
Et désormais, en tant que citoyens européens, ils peuvent rester trois mois, sans formalités.
C.B.
“Et désormais, en tant que citoyens européens, ils peuvent rester trois mois en FRANCE, sans formalités, précise Le Parisien.”
Mais j’aimerais savoir quels sont les articles de loi qui obligeraient la FRANCE a leur fournir
-le gîte
-le couvert
-la couverture médicale gratuite
-un emploi rémunéré
-une indemnité financière à défaut d’un emploi rémunéré
pendant ces trois mois?
Bienvenue aux touristes, mais qu’ils s’assument, qu’ils soient autonomes!
pique-à-sots
Pour revenir illico ,ils doivent avoir de bonnes raisons (sic) …ancun cas de ce genre ,me semble-t-il, n’a jamais été rapporté lors de sortie des paradis soviétiques ou similaires !
Ah! la France …ses monuments,sa culture, ses chateaux, ses paysages, …sa CMU, ses allocations…!!!!!
Jean Theis
Sans formalités certes, mais sans subventions ?
Briscard
Et bien entendu, ils avaient touché la prime de 300€ pour partir je suppose.
Quelle frontière ? Depuis Schengen la France n’a plus de frontières et celles du machin de l’UE sont pire qu’une passoire, un aspirateur à barbares de tout poil.
Voir ce qu’en pense Bernard Antony : http://www.lagrif.fr/
Communiqués de l’AGRIF :
« LES FRONTIÈRES D’ÉRIC BESSON ?
L’inénarrable Éric Besson vient de déclarer que pour « stopper » l’immigration clandestine, il fallait le faire « en s’attaquant aux filières » (belle découverte en vérité !) et « protéger mieux nos frontières ».
De cela il ressort ou que ce monsieur est un imbécile ou qu’il prend les Français pour des idiots. On aimerait en effet qu’il expose de quelles frontières il parle : celles de la France largement démantelées ou celles de l’Union Européenne à l’intérieur de laquelle doit être respecté le principe de la libre circulation ?
Une fois qu’il aura dit cela, on aimerait savoir comment il entend protéger les frontières qu’il invoque.
La triste vérité est que comme toute la classe politique ce citoyen-ministre est incapable de remonter des effets aux causes. La première urgence est de « sortir de cette Europe-là » et de reprendre notre souveraineté sur notre sol. »