L'association AJL des journalistes lesbiennes, gay, bi et trans veut aider (sic) les journalistes à parler des thématiques LGBT sans discrimination, grâce à un kit.
Dans la série, police de la pensée ou réécriture de la réalité, le lobby veut censurer des termes et des thèmes, mais aussi empêcher les photos désobligeantes qu'il est pourtant facile de prendre lors de la séance de débauche que constitue la Gay Pride.
Stephe
Trente “journalistes” LGBT vont scruter la prose de leur collègues et nous rappeler le “bon temps” ou les communistes faisaient la Loi. J’attends avec impatience le moment ou des demi-gauchistes se verront traîner à leur tour dans la boue car ils auront osé (par pure inadvertance) utiliser tel ou tel terme interdit par Big Gaybrother, nous verrons alors ces gens faire leur autocritique “spontanée” devant un jury gaypopulaire autodésigné avant de partir pour un temps (jamais défini) de rééducation dans un obscur canard de province, ils seront alors punis par le monstre qu’ils auront fait naître.
nv
Vive la liberté d’expression.
Gaudete
Goebbels, où es-tu, tes copains arrivent
Malalou
C’est vrai qu’ils ont besoin d’aide dans ce domaine…