"un juriste de haut rang a demandé au gouvernement britannique d'arrêter
le pape Benoît XVI lors de sa visite en Angleterre et en Ecosse en
septembre pour le déférer devant le Tribunal pénal international pour «
crimes contre l'humanité ». […]Geoffrey Robertson fait partie des cinq juristes du système judiciaire
interne de l'ONU chargé de faire jouer la responsabilité des officiels
de l'organisation qui se rendraient coupables de corruption ou de fautes
dans l'exercice de leurs fonctions. Spécialisé dans la demande de
dommages pour faute, il souhaite explicitement cette forme de procès
pour faire augmenter les sommes octroyées aux victimes d'abus sexuels
(sachant que leurs avocats touchent une somme proportionnelle, jusqu'à
la moitié) notamment dans les diocèses américains où les finances sont
déjà à zéro.Ce même juriste […] est connu pour faire depuis longtemps campagne afin
que le Saint-Siège perde son statut d'observateur permanent à l'ONU en
tant qu'Etat souverain et que cette dernière manœuvre pourrait bien s'y
inscrire. Geoffrey Robertson qualifie le Saint-Siège de « plus grande
ONG du monde »."
Voilà la rafle
8 commentaires
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LBDD
Et ce haut juriste a-t-il une opinion sur les réseaux de pédocriminels qui, contrairement aux mauvais prêtres, tuent leurs victimes et les font disparaître?
Il y a en France des milliers de disparitions inexpliquées de mineurs chaque année, et on sait que ces enfants finissent pour les horreurs de pervers haut placés…
Mike
Nous atteignons des sommets dans le n’importe quoi !
Laetitia de M
Prions saint Thomas More, ça urge!!!!!!!!!!!
Okapi T.
En effet LBDD, et comme on le voit le crime n’est pas la pédophilie en soi mais l’appartenance à une autre caste que celle des “hauts placés”…
Simon
Complètement dingue…
Guz
Pauvre type, il se ridiculise lui-même, que dire de plus ? Le monde entier est manipulé dans ces affaires anti-Pape mais le peuple n’est pas idiot et commence à comprendre que ce lynchage n’est que le fruit d’une petite élite médiatique en manque d’anticléricalisme primaire. La crise passera et tout reviendra, le Saint-Siège connait bien ce genre de pratique. Pour moi, c’est un “fait divers anticlérical sans suite” car j’ai confiance en l’Église qui ne bougera pas d’un iota.
Je ne suis donc pas préoccupé par toutes ces attaques.
Jean Theis
En France, il semble qu’on ait emprisonné par deux fois des papes.(Philippe Le Bel ? Napoléon ?) Si je me trompe, je présente mes excuses.
On est mal placés pour faire la morale à la “scène internationale”.
PK
Je pense que le problème est sérieux.
Cela fait des siècles qu’on n’a pas attaqué physiquement le pape (via un état ou un souverain). Cette proposition n’est pas si farfelue.
N’oubliez pas que nos ennemis sont prudents malgré tout : ils sont globalement minoritaires (bien que majoritaires dans nos contrés) et ils sont obligés à la prudence de ce fait.
Du coup, ils testent par à coup. Cette proposition n’est qu’un coup de plus. Si les catholiques continuent à rester neutres et à ne pas réagir, ils iront plus loin et attaqueront physiquement le pape (ou ses représentants).
Il faut arrêter d’être naïf : nous sommes malheureusement en guerre et il va falloir trancher un jour ou l’autre.
Aujourd’hui, la guerre est larvée… tant que l’on saura contenir ces excités aux paroles. Mais chaque parole qui passe et qui n’est pas contrée fait avancer la machine maléfique vers le remplacement de la parole par l’action.
Aujourd’hui, on pille nos église et on saccage nos cimetières. Sans compter les profanations de tabernacles.
Demain, on rouvrira le cortège des martyrs en Europe.
Catholiques, il serait temps aujourd’hui de savoir où est votre foi… et rappelez-vous que la peur ne vient pas de Dieu : il y a 365 références dans la Bible à cette phrase : « N’ayez pas peur ! ». Un pour chaque jour de l’année. Chaque fois que vous abdiquez sous la peur, vous abdiquez devant une pression démoniaque.
Un grand Pape nous a dit : « France, qu’as-tu fait de ton baptême ? ».
Je crois que nous tous, catholiques (et pas seulement les catholiques français) pouvons nous poser cette question : qu’avons-nous faits des promesses de notre baptême ?