Il est étonnant que nos socialistes n'y aient pas pensé les premiers. Pour couvrir le coût d'installation d'un nouveau système de climatisation, le plus gros aéroport du Venezuela à Caracas fait payer aux voyageurs l'air qu'ils respirent. Les passagers devront s'acquitter d'une taxe supplémentaire de 127 bolivars, soit 20 dollars ou 15 euros environ.
Voilà la taxe sur l’air
Articles liés
12 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Alpin
Loin de moi l’idée de jouer au prophète ,mais cela ne surprend absolument pas du tout , et ce n’est là qu’un début .
J’avais d’ailleurs envisagé cette idée folle et d’une malhonnêteté sans limite !!!
Bien souvent je disais à mas amis et collègues :
-ne rigolez pas, s’ils le pouvaient ils vous feraient payer l’air que l’on respire!!.
Voilà ,nous y sommes ,je ne croyais pas si bien dire.
Je suis d’ailleurs également étonné que ces voyous totalement fous n’y ai pas songé plus tôt .
Au sujet des délocalisations ,autres paroles à mon entourage :
“vous verrez qu’un jour ,ils vont trouver le moyen DE FAIRE BOSSER LES PYGMES .
Je sui à peu près certain qu’ils vont au moins tenter d’y parvenir !!!!!!!!!!!!:!
Nous sommes effectivement là dans le délire absolu.
C’est pourquoi cela ne peut plus durer ainsi ,et que la raison va reprendre droit de cité ,et tous ces malades de la tête vont disparaître des écrans radar , ou bien alors ,dès cette minute nous acceptons majoritairement d’être des esclaves .
C’est pas plus compliqué que cela.
Coût du lobbyng et de la corruption en France 30 milliards
3 000 cabinets de lobbyng et 15 à 30 000 lobbystes, soit 40 lobbystes pour un député.
Merci à l’UERSS
http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/les-lobbies-qui-tiennent-la-france_1409758.html
maintenant ,une note d’espoir
http://lesmoutonsenrages.fr/2013/01/01/brzezinski-une-resistance-populiste-fait-derailler-le-nouvel-ordre-mondial/
amiral
Et voila une idée qu’elle est bonne ,par exemple pour l’inauguration de nos nouvelles régions 50 euro par personne et par région ,une foi par année et plaigniez vous pas il y a moins de région ,vous faite du bénef?si si .
DUPORT
C’est une époque de science fiction !
Tous les pires délires deviennent réalités
Les pires fous, les pires malfaisants s’incarnent de chair et d’os !
Les simples actualités de ce début de siècle seraient passées pour des scénarios de science fiction invraisemblables il y a seulement 30 ans.
perchè_no
on peut dire qu’ils n’en manquent pas !
1 bon point CMACQOLR de plus(…c’est même à çà qu’on les reconnaît)
Topaze
Pourquoi pas créer une taxe sur la bêtise humaine ?
Bernard S
Taxer l’air que l’on respire, c’est excellent pour le chômage : pour moins payer, respirez moins, et pour cela rien de tel que dormir : pendant que vous dormirez, vous laisserez enfin des chômeurs travailler!
Mais il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin : payer ce que vous inspirez, c’est bien, mais il faut taxer ce que vous expirez, et qui pollue à grands coups de CO2 l’air que doivent inspirer les animaux.
Allez! vite un compteur sur chaque humain dès sa naissance.
Bertrand
Bientôt une taxe sur les flatulences avec un compteur à gaz là où je pense !!!!
Jean Theis
Ne délirons pas. Ce n’est pas l’air qu’on paie au Vénézuela mais les techniques de sa climatisation.
Patrice Duport
Avec les siosalauds, l’air est devenu irrespirable.
c'est ici
Les PYGMES ?
Les Pygmées ?
Lurker
Ne vous inquiétez pas. De moins en moins de gens vont être affectés par cette taxe.
Les aéroports du Venezuela ont un beaucoup plus gros problème que l’air vicié : de plus en plus de compagnies aériennes jettent l’éponge et renoncent à desservir le pays.
Les derniers en date à réduire le nombre de vols sont Lufthansa et United Airlines.
http://www.bloomberg.com/news/2014-07-11/united-airlines-joins-peers-cutting-flights-to-venezuela.html
http://www.reuters.com/article/2014/07/14/us-venezuela-airlines-idUSKBN0FJ2MC20140714
De leur côté, American Airlines a réduit sa desserte de 79% et, à partir du mois d’aout, Delta ne proposera plus qu’un seul vol par semaine.
Et pour cause ! Les compagnies aériennes étrangères n’arrivent tout simplement plus à se faire payer. L’état vénézuélien leur impose de vendre les tickets en monnaie locale, le bolivar (60% d’inflation par an), et ensuite refuse de convertir ces bolivars en devises étrangères.
Et les quelques compagnies locales qui ont encore des avions plus ou moins en état de voler sont pour la plupart sur les listes noires internationales pour des raisons de sécurité.
amiral
Ne vous faite pas de bille pour ce qui est du contrôle,Bientôt la puce entra-corporel.la nous seront tous des robots.