A l’heure du wokisme, de la propagande LGBT, de l’idéologie du gender, Osez le féminisme commence à s’inquiéter des conséquences de la pornographie. Blandine Deverlanges, porte-parole d’Osez le féminisme en Vaucluse, déclare :
Ces vidéos perpétuent le sexisme. Aujourd’hui, la majorité des garçons et des filles de 12 ans ont déjà visionné plusieurs vidéos. Ce qui est en ligne est extrêmement violent, misogyne et raciste. Les garçons comme les filles sont biberonnés à ça. L’âge moyen de visionnage de la première vidéo, c’est avant 10 ans. Le sexisme, c’est l’idée que les sexes n’ont pas la même valeur. Cela justifie le comportement. Si on ne s’attaque pas à la racine du mal, on ne réglera pas ces questions des violences et d’inégalités.
Collapsus
Le pourrissement de la jeunesse fait partie du plan de déconstruction de notre civilisation. Cette pauvre petite féministe qui vient de découvrir ce que tout le monde sait depuis toujours (sauf les parents inconscients ou lâches qui fournissent un smartphone à leur bambin de 10 ans) est bien pitoyable ou hypocrite. Tout cela serait bien risible si ce n’était si dramatique.
PaulBlaise
Ah bah c’est bien, y a du progrès !
Pour soutenir la lutte, on peut aider les associations comme « Stop au porno » ou « Déclic » (assodeclic.com).
Arwen
Petit guide pratique pour être malheureux et asservi:
Leçon 1: regarder dès que l’on en a envie des vidéos pornographiques.
Gilles Tournier
La réponse à la question du titre est : non ! D’ailleurs, cette pouffe ne dénonce pas la pornographie, elle dénonce le sexisme misogyne et raciste et la différence des sexes.