Rassérénez-vous : grâce notamment à son patrimoine immobilier acquis du temps des subsides soviétiques et à son implantation locale, le PCF est bien moins tributaire de l’aide publique que ne le sont les autres partis.
C’est dans Challenges de mai – rapporté par les Manants du Roi :
"D’après nos calculs, même si le parti perdait alors [aux législatives, NDHV] la moitié de ses voix, la baisse des aides publiques n’amputerait son budget que de 5%."