Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Une cour fédérale de l’Etat de Washington a décidé mercredi que les pharmaciens ont le droit, au nom du Premier amendement à la Constitution américaine, de refuser d’avoir en stock et de distribuer la « contraception d’urgence » potentiellement abortive, si un tel acte devait contredire leurs croyances religieuses. C’est une victoire pour les pharmaciens qui contestaient les règles auxquels ils sont soumis depuis 2007 par le Washington Board of Pharmacy."
En France, les pharmaciens n'ont pas cette liberté.
PK
C’est normal : en France, le mot liberté n’est qu’à prendre au sens maçonnique du terme : ma liberté s’arrête là ou commence celle de la maçonnerie.
Autant dire qu’on est limité, côté catholique.
P G
@ PK
Léger désaccord de formulation : nos libertés s’arrêtent là où commencent celles de l’Etat, f-m ou non.
Ce distinguo me parait important, car trop de catholiques pensent encore que l’Etat peut se substituer à chacun, au nom de la ”justice sociale”, ”équité” et autres théories socialisantes.
Dans la mesure où les catholiques ont par exemple vendu leurs libertés scolaires par deux fois en 50 ans (lois Debré, accords Cloupet-Lang) en échange d’un plat de lentilles étatiques, ou familiales en échange des allocations familiales du temps de guerre, ils ont consenti à leur abaissement par l’Etat : la f-m tire sa force de nos abandons.
Kergoat
good news !
PK
@ PG
Quelle différence ? La FM contrôle : l’État n’est que son bras armé aujourd’hui…