“Notre pays doit enrayer les phénomènes de bandes et de haine dirigés contre deux piliers de la République, l’école et la police”.
Et il a annoncé 16 nouvelles mesures.
Yves Daoudal ironise :
“On attendait la 17e, mais elle n’est pas venue : L’application des lois…”
Et dès hier soir, des échauffourées se sont produites entre une cinquantaine de voyous d’un quartier de Châteaudun (Eure-et-Loir) et des forains. Des coups de feu ont été échangés et des pierres jetées sur des caravanes et des véhicules de la gendarmerie. Le quartier a été bouclé et sécurisé par une centaine de gendarmes venus en renfort de tout le département, ainsi que par un escadron de gendarmerie mobile composé de 70 militaires.
HB
“Notre pays doit enrayer les phénomènes de bandes et de haine dirigés contre deux piliers de la République, l’école et la police”.
Les deux piliers de la République ne sont que Jakin et Boaz.
Ils sont bientôt détruits!
Dieu Merci.
Olivier M
Daoudal a parfaitement raison: le code pénal actuel est largement suffisant pour punir les bandes de racailles de leurs méfaits.
La seule chose à faire est d’appliquer le code pénal, pas d’édicter de nouveaux textes, tous plus inutiles les uns que les autres.
Mais pour appliquer la loi, et donc pour alller affronter la racaille, il faut du courage; et là, il n’y a plus personne.
Surtout pas monsieur “kärscher”, qui a remisé son karscher au placard une fois les électeurs FN gobés en 2007 pour ouvrir son gouvernement à l’immigration elle-même et donner son ministère de “l’immigration” (qui n’est plus “de l’identité nationale”) à un socialiste, etc.
Plus le temps avance, plus lutter les bandes deviendra impossible sans véritablement combattre.
C’est mathématique car lié aux données sociologiques et démographiques de la France depuis 4 décénnies.
Belle France que nous léguons à nos enfants…
gc
La remarque d’Yves Daoudal est excellente. Il suffisait d’appliquer les lois existantes, ce qui n’est jamais fait depuis des années, et pour cause. Il s’agit de faire peur aux gens pour qu’ils acceptent n’importe quoi.
Le fait divers de l’étrange attaque d’une école par une bande cagoulée et armée (il serait intéressant de savoir qui en est à l’origine), comme par hasard fortement relayé par les gros médias, a servi de prétexte à de nouvelles lois contre la liberté ici pour lutter contre les “bandes” :
– 16 mesures dont « la création d’un fichier dédié aux violences urbaines et au phénomène de bandes”, création d’une police d’agglomération “chargée de coordonner la collecte du renseignement et l’action de la police”, autrement dit de mesures sur le fichage et la surveillance des gens,
– une mesure contre la liberté de rassemblement: “Le fait même d’appartenir à une bande doit être un délit”, dixit Sarkozy, avec une peine de 3 ans d’emprisonnement à la clé.
Les faits divers servent de prétexte à l’instauration de lois contre les libertés. On retrouve le même procédé qui avait suivi les évènements du 11 septembre aux Etats-Unis. Et comme aux Etats-Unis, la France commence à mettre en place les mesures qui faciliteront l’instauration d’une dictature.