Le 18 avril, le gouvernement s'est montré très ferme.
Suite à l'abandon du projet d'aéroport à Notre Dame des Landes, Edouard Philippe laissait "jusqu'au 30 mars aux zadistes pour partir".
Après les violences à l'encontre des gendarmes sur la ZAD, le gouvernement se montre à nouveau très ferme :
"les occupants illégaux ont désormais jusqu’au 14 mai pour partir".
Il se murmure que les zadistes vont passer un bel été à Notre-Dame des Landes…
Hervé
Ceux qui rigolent des zadistes, pleureront demain. Car quand l’euro se sera effondré, que les créanciers étrangers demanderont d’être remboursés, les gens n’auront plus ni leur propriété ni leur Assurance-vie, ni leur retraite. Ne pouvant payer une location, ils vivront à l’instar des zadistes. Ces derniers, en avance sur leur temps, se préparent à cette éventualité. Mais les autres comment vont-ils réussir à tenir sans expérience ?