Lu sur Atlantico :
"Le 3 octobre, la Cour européenne des Droits de l’homme va entendre une
affaire mettant en cause l’impossibilité pour une femme d’adopter le
fils de sa compagne en raison du refus du père de l’enfant (affaire X
et autres c. Autriche). Ce refus faisant obstacle à l’adoption par la
compagne de la mère, les deux femmes ont demandé à la justice de
déchoir le père de ses droits parentaux et d’autoriser l’adoption de
telle sorte que la femme adoptante se substitue au père de l’enfant.
Il faut savoir que si l’enfant devait être adopté, le père perdrait
tout contact avec son fils, il n’aurait plus le droit de le voir.Cette
affaire est portée par le lobby international LGBT. L’avocat des
requérants est le directeur européen de l’International Lesbian, Gay,
Bisexual, Transgender & Intersex Law Association (ILGLaw) et
conseiller juridique d’ILGA-Europe. Il est également membre d’ECSOL, un
réseau européen de juristes militants LGBT dont fait partie la
bien-connue Me Mecary. Ces organisations interviennent en outre dans la
procédure.En demandant à la justice d’évincer le père pour
prendre sa place, vous rendez-vous seulement compte de l’absurdité de
votre demande dans l’affaire que vous avez eu l’audace (l’inconscience
?) de présenter devant la Cour européenne des Droits de l’homme après
avoir été déboutées par la justice de votre pays ? […]
Cette affaire deviendra commune demain, lorsque la loi dénaturant le mariage sera votée.
Domremy
Pour satisfaire une minorité ce sont tous les droits de toujours qui sont piétinés : ceux des des pères , des grands parents, des enfants eux meme comme ici en Ecosse, et les enfants ne deviennent plus que des cobayes dans l’expérimentation sociale pathologique de ces docteurs Folamour.
TRADUCTION
“Ils arrachent des enfants à leurs grands-parents pour les faire adopter par des pédérastes !
Les grands parents de deux enfants confiés à « l’adoption » par un couple homosexuel se voient interdire depuis 3 ans le moindre contact avec leurs petits-enfants.
Auparavant on leur a interdit d’être famille d’accueil. Pour les fonctionnaires écossais ils seraient trop âgés pour pouvoir s’occuper de leurs petits-enfants.
Le couple des grands parents a élevé ses sept enfants. Il s’est occupé aussi de ses petits enfants – enfants de leur fille ainée – jusqu’à ce que le petit garçon ait atteint les 5 ans et la petite fille 4 ans. Le service social de la ville d’Edimbourg a décidé d’offrir les enfants à l’adoption. Les bureaucrates décrété que les grands parents étaient trop âgés pour s’occuper encore de leurs propre petits-enfants. Les enfants se sont retrouvés chez deux pédérastes vivant en couple.
Les grands parents ont protesté et le travailleur social a décrété que s’ils n’acceptaient pas cette décision, ils ne reverraient plus les enfants. On a officiellement interdit toute rencontre avec les grands parents pendant 3 ans.
Le porte parole du service de presse invité à commenter cette décision a affirmé : » Les décisions concernant le contact entre les enfants et sa famille n’a d’autre but que de défendre l’intéret des enfants. Dans ce cas il est évident qu’il n’existera plus aucun contact médiatisé. L’affaire est claire depuis que l’on a confié les enfants aux adoptants »
SOURCE : http://www.pch24.pl/dzieci-w-rekach-dewiantow–dziadkowie-maja-zakaz-kontaktow-z-wnukami,6063,i.html
Denis Merlin
On peut considérer l’origine de la crise que nous subissons comme un conspiration contre toute paternité.
Jean Theis
On ne se rend pas compte de toutes les implications que ces mariages de paires entraînent.
Il est essentiel de les faire connaître car si soi-disant la majorité des Français accepte cette dénaturation, c’est parce qu’ils ignorent les effets secondaires qu’elle cache.
C.B.
Pour que la justice puisse déchoir un père de ses droits parentaux, ne faut-il pas prouver que ce père ne s’occupe pas son enfant ou lui porte tort, ce qui ne semble pas être le cas ici (il semblerait que le père continue à s’intéresser à son enfant)?