La Fondation Jérôme Lejeune communique :
"Traiter les personnes atteintes de trisomie 21, c'est parvenir à diminuer leur déficience mentale pour qu'elles deviennent autonomes et puissent vivre normalement. Aujourd'hui on sait traiter et guérir de nombreuses pathologies associées à la trisomie 21, mais il faut encore aux facteurs qui entraînent le retard mental (…)
Dans ce contexte scientifique, la Fondation Jérôme Lejeune s'interroge : 50 ans après la découverte de la cause de la trisomie 21, comment accepter que seule existe en France une politique publique de dépistage, et aucune aide accordée à la recherche en vue d'aboutir à un traitement ?
Avec, en France, 800 000 grossesses par an, une fréquence pour la trisomie 21 d'une conception sur 700, l'enjeu de santé publique est important. Rappelons qu'actuellement, 96 % des fœtus dépistés trisomiques sont éliminés."