Une consultation publique sur une nouvelle technique visant à prévenir,
via la fécondation in vitro, la transmission de certaines maladies
génétiques graves et faisant intervenir l'ADN d'une troisième personne
en plus de celui du couple concerné, a été lancée lundi au Royaume-Uni. Cette
consultation est menée par l'Autorité britannique en matière
d'embryologie et de fertilité humaine (HFEA) pour rassembler des avis
sur l'impact social et éthique de cette technique qui fait appel à un
troisième parent génétique pour la conception.
Elle doit aider le
gouvernement à décider s'il légalise ou pas cette manipulation. L'argument invoqué est de permettre l'élimination de risque de
maladies mitochondriales graves. Toujours cette chasse à l'enfant parfait. Les enfants ayant subi ce traitement partageraient de
l'ADN avec trois personnes. Ils auraient ainsi 3 parents ! La consultation doit être menée jusqu'au 7 décembre.
Philippe
Ce sera certainement soumis à des conditions, comme sur les chaînes publiques de télévision, minimum un tiers d’ADN africain, minimum un tiers d’ADN arabo- ou indo-musulman et maximum un tiers d’ADN eurocaucasien.
incongru
j’avais déjà prévu une fin semblable à un certain couplet de la chanson “le plaisir des dieux”, pour finir les banquets…
on y vient, gentiment