Après la Chambre des communes au début du mois, la Chambre des Lords britannique a approuvé la technique de fécondation in vitro qui permet de faire naître des bébés dont l'ADN provient de deux femmes et d'un homme.
Pour David King, directeur de l’association Human Genetics Alert
« une fois cette frontière éthique franchie […], il deviendra difficile de ne pas franchir les étapes suivantes pour aboutir à un monde de bébés fabriqués sur mesure ».
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Une superclasse mondialiste richissime dirigeant un monde sans frontière avec des êtres humains qui n’auront qu’un droit, celui d’augmenter les dividendes de la dite superclasse en consommant les produits qu’ils l’en imposeront, enfin tant que ces êtres humains auront les moyens financiers et la santé pour le faire, après l’on procédera à leur “euthanasie” volontaire, et c’est donc dite superclasse qui se fabriquera des enfants parfaits. Il faudra aussi leur avoir enlever dans leur adn, les tendances à la paresse, et divers petits inconvénients les rendant détestables voire dangereux pour leurs “parents”, à moins que d’ici là une loi permette d’euthanasier les enfants parfaits qui ne le seraient plus…(version appareil ménager tombant en panne et jeter au rebut).
Les parents à trois ne sont que la suite logique et prévisible des premiers bébés éprouvettes d’il y a déjà quelques décennies même si maintenant l’on emploie des sigles pour cacher les réalités.
L'anarcho
Il ne faut pas s’étonner que nos jeunes en manque de repère embrassent la religion musulmane et tombent parfois de la délinquance à l’islamisme…
Exupéry
@ l’anarcho
Tout à fait d’accord.
Les plantes sans racine ne peuvent vivre qu’en suçant une sève étrangère, dont elles sont intégralement dépendantes.
MEIERS
Il faut aussi, je pense tenir compte d’une histoire et d’une culture propre de l’Angleterre. Vieille terre de peuplement celte, elle n’a été progressivement romanisée qu’à compter du milieu du 1er siècle. Dans le sillage de la conquête romaine s’est établie progressivement le christianisme, mais en concurrence avec une vieille religion celte païenne à base de sacrifices humains et de druides dont les caractères négatifs se sont perpétués dans la mentalité anglaise. Lorsque les romains ont évacués l’Angleterre à la fin du IVème siècle, l’Île a été livrée aux envahisseurs angles et saxons, qui avaient eu aussi déterminés un recul temporaire du christianisme. La religion catholique pu en fait s’établir solidement sur l’Île à partir du règne de Guillaume le Conquérant au XIème siècle, l’Ecosse et le Pays de Galle ayant eux été christianisés par des moines irlandais. Mais dès le XVIème siècle l’Eglise d’Angleterre rompis avec le catholicisme sous l’influence du roi Henri VIII. Ces tribulations culturelles et religieuses ont fait qu’un fonds de paganisme s’est toujours maintenu dans la société anglaise. Des exemples sont par exemple le rôle de la littérature fantastique et d’horreur dans la culture anglaise. On peut penser aux récits de fantômes ou à un roman tel que “Frankenstein ou le Prométhée moderne” de Mary Shelley publié en 1818, relatant la création d’un homme artificiel (comme les scientifiques anglais actuels faisant naître des bébés comportant l’ADN de deux femmes et d’un homme) ou par exemple “le portrait de Dorian Grey” d’Oscar Wilde à la fin du XIXème siècle. On reconnaît là un genre de culte des mauvais esprits d’inspiration païenne. Il ne faut pas oublier non plus que la Franc-Maçonnerie moderne est née au XVIIIème siècle en Angleterre, de même que le satanisme d’un Alister Crowley au XXème, resurgence d’un paganisme ancien effaçant un vernis chrétien trop superficiel. Il n’est donc pas étonnant que cette fascination anglaise pour l’horreur, alliée aux possibilités techniques du XXIème siècle conduise l’Angleterre à un rôle de pionnier de ces manipulations génétiques.
Levi
Un mort est un mort, un vivant est un vivant.
Par quel tour de passe passe nous fera-t-on croire qu’il vaut mieux être mort que vivant ??
LUCAS
Tous nous avons reçu la moitié de nos chromosomes d’un (seul) homme, notre père, et l’autre moitié de nos chromosomes d’une (seule) femme, notre mère. Pas de deux hommes ou de deux femmes, ni d’une seule femme ou un seul homme.
L’ADN des mitochondries est effectivement exclusivement maternel, les quelques mitochondries du spermatozoïde introduites dans le cytoplasme de l’ovocyte étant détruites après absorption dans des vacuoles.
L’ADN (toujours maternel) des mitochondries est différent de celui du noyau (toujours biparental), avec des codons différents. Il peut effectivement être le support de certaines maladies transmissibles héréditairement. Cela ne fait pas, dans la technique dont on parle un enfant à trois parents.
rijkov
Franchement, l’Angleterre est quand même un pays sacrément pourri.
Autant que le nôtre.