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France : Société

30 000 euros la peau de l’ours

30 000 euros la peau de l’ours

Un ours a été retrouvé la semaine dernière tué par balles en Ariège. Branle-bas de combat, le préfet s’est déplacé, il y a eu des relevés de police scientifique, l’hélitreuillage du cadavre, une autopsie et des auditions par les gendarmes…

Déterminée à retrouver le tireur, l’association Sea Shepherd a promis une prime pour “toute information qui permettrait aux enquêteurs d’identifier le braconnier”. Le montant de celle-ci a d’abord été fixé à 10 000 euros, avant d’être élevée à 30 000 euros.

La Fédération nationale ovine a «vivement condamné» l’offre d’une récompense, dénonçant une pratique «indigne alors que les éleveurs essaient eux de vivre dignement de leur métier».

En 2019, 1173 animaux ont été tués par des ours et 36 ruches détruites.

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13 commentaires

  1. Moins d’ours, moins de loups, moins de lynx … moins de Création.

  2. et moi je donne une prime de 30000 euros pour tous ceux qui dénonceront un médecin qui a fait le serment de protéger la vie et qui pratique des avortements , idem contre les politiques qui ont signé les lois pour l’avortement. C’est vrai qu’un ours c’est plus important qu’un enfant à naître. Quand est-ce qu’ils comprendront ces écolos verts à l’extérieur , rouge à l’intérieur qu’ils nous pompent l’air sérieusement, et qu’attendent-ils pour monter un élevage de moutons dans les Pyrénées?

  3. Je connais l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours !
    Merci pour les 30 000 € . . .

  4. Nos ancêtres se sont battus contre ces saletés, pour in fine se retrouver avec des bobos qui nous font la leçon !
    Si les parigos veulent transformer les montagnes en élevage d’Ours, qu’ils indemnisent les agriculteurs à la valeur des terres avant introduction de cette saleté! #DroitdePropriété, moi je viens pas interdire les anti-cafards dans ton appart.
    Bravo à ceux qui ont encore le courage de se battre!!

  5. Et toi, tu as le droit de faire ce que tu veux dans ton appart, et lui dans son champ. Sinon tu payes pour l’exproprier. #Stalinisme

  6. Pauvre petit nounours. Comme c’est triste.
    Comment peut-on être si méchant avec de si gentilles bêtes ?
    Tient, ça me rappelle une histoire d’éléphant triste à pleurer.

    Ça se passait en 1986. Un de mes bons amis Gilles B. était en vacances au Kenya après avoir obtenu le diplôme universitaire qui marquait la fin de ses études. Au cours d’une de ses randonnées en brousse, il est tombé sur un jeune éléphant qui tenait sa patte en l’air avec un air malheureux. Gilles avait un excellent cœur et il était du genre à agir d’abord et à réfléchir ensuite. Il a donc immédiatement décidé de porter assistance à cette pauvre bête. Après s’être approché avec beaucoup de précaution, il a inspecté la patte de l’éléphant et a trouvé une grosse écharde profondément enfoncée. Avec beaucoup de précautions il a extrait l’écharde avec son couteau. Après cela l’éléphant a pu poser son pied par terre et il s’est abîmé dans une longue contemplation de son sauveteur. Il l’a fixé pendant un très long moment qui a paru une éternité à mon ami qui n’osait plus bouger. Sa bonne action allait-elle lui coûter la vie ? Heureusement non !

    L’éléphant a fini par pousser un puissant barrissement et s’est éloigné majestueusement. Vous pensez bien que Gilles n’a jamais oublié cette incroyable rencontre. Or vingt ans plus tard, en visitant un obscur zoo à Chicago avec son fils adolescent, l’un des pachydermes qui étaient dans l’enclos des éléphants s’est retourné et s’est approché de l’endroit où se trouvaient Gilles et son fils. Le géant a fixé mon ami, a soulevé sa patte avant et l’a reposée tout doucement sur le sol. Il a recommencé son manège plusieurs fois tout en fixant Gilles intensément. Lorsque le puissant barrissement de l’éléphant s’est fait entendre mon ami n’avait plus aucun doute : il avait retrouvé la pauvre bête à laquelle il était venu en aide en 1986. Incapable de se contenir plus longtemps, Gilles a escaladé la grille de l’enclos et s’est avancé doucement vers l’éléphant tout en lui parlant sans discontinuer. L’éléphant est resté parfaitement immobile et paisible jusqu’à ce que Gilles, le cœur battant, puisse enfin flatter le flanc de l’animal. Quel magnifique moment de communion avec la nature. Avec beaucoup de douceur, l’éléphant a enroulé sa trompe autour de l’une des jambes de mon ami et l’a projeté contre l’un des poteaux de la clôture. Gilles et mort sur le coup.

    Est-ce que c’était bien le même éléphant ? On ne le saura jamais. Evidemment c’est une triste histoire surtout qu’après il a fallu abattre l’éléphant. Mais il ne faut pas que ça nous empêche d’être gentils avec les animaux car ce qui compte dans la vie, c’est l’amour. D’ailleurs, je reste persuadé que si ça avait été un ours au lieu d’un éléphant l’histoire se serait beaucoup mieux terminée pour Gilles. Et surtout arrêtez de manger de la viande car comme le disait Jean-Jacques Rousseau les animaux sont gentils naturellement. C’est la société qui les perverti. Ce n’est pas parce que certains sont déséquilibrés ou radicalisés qu’il faut jeter les autres avec l’eau du bain. Il faut se méfier des amalgames qui sont bien plus dangereux que les ours sauvages. C’est l’homme qui est méchant. C’est lui qu’il faut éliminer pour sauver la planète pour que les ours puissent repeupler les forêts et alors nous serons heureux. Cœur sur vous tous.

    • Merci pour votre récit, très bien écrit… avec ironie, bien sûr (certain lecteur semble en douter). Je partage votre point de vue.
      Je suis vraiment désolée pour votre ami Gilles : j’aurais préféré que ce fût une fiction, et non une histoire vraie.
      Je pense que ce n’était pas le même éléphant mais ce n’est que mon avis…

      • Histoire dramatique mais texte excellent (sur le fond et sur la forme).

      • Je vous rassure tout de suite, c’est un ami imaginaire. Je n’ai fait que réutiliser une histoire qui traine sur les forums américains et qui est utilisée pour moquer la sensiblerie et la mièvrerie de certains à l’égard des animaux quand il y a tellement de meilleures raisons de se révolter.

  7. Je suis allé au nord du cercle polaire, en Finlande (le pays du Père Noël), dans un village de vacances.
    J’ai été prévenu qu’il valait mieux éviter de sortir de son chalet le soir : on risquait de rencontrer un ours qui venait faire les poubelles !
    Je pense que les ours vont au plus facile pour se nourrir, et que c’est une stupidité de vouloir les faire vivre dans des régions d’élevage; d’ailleurs les dernières introductions d’ours dans les Pyrénées se sont faites contre l’avis de la population.
    Le monde de demain sera peut-être celui où on tiendra compte de l’avis des français ! On peut toujours rêver.

  8. Cher Clofer, pouvez-vous développer ? Nous voudrions savoir à quel genre de commentaire vous vous attendiez de la part de catholiques. Nous souhaiterions éviter de vous décevoir lors de nos prochaines interventions.

  9. Histoire dramatique mais texte excellent (sur le fond et sur la forme).

  10. Sea Shepherd dans les Pyrénées? Où il n’y a pas de sea, s’il y en avait une ce serait une mer, et les shepherds de ce drôle de pays se nomment berger. Get out, please. Vous n’avez rien à faire chez nous.

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