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À l’usage de ceux qui croient qu’être intelligent suffit pour décider, le discernement

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André Bercoff reçoit sur Sud Radio François Bert, coach en management et auteur de “Le discernement : À l’usage de ceux qui croient qu’être intelligent suffit pour décider” :

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5 commentaires

  1. Dans l’établissement des critères permettant d’évaluer un QI, il n’y a pas le discernement, difficilement quantifiable par des tests. C’est bien regrettable car il est une composante essentielle de l’intelligence, la vraie. Il trouve ses sources dans l’observation, l’expérience, la psychologie, la morale, en un mot le fond de l’âme. Autant d’éléments fondamentaux dont sont bien dépourvus nos technocrates à crâne d’oeuf. Giscard ou Juppé en sont les archétypes.

    • Je ne mettrais pas Giscard et Juppé au même niveau. Giscard a modernisé la France avec une vision technocratique, certes , mais bien réelle. Les centrale nucléaires, c’est bien lui qui a continué leur développement, pas Juppé et encore moins Macron qui, sur le sujet, valet des européistes, a tout faux !

      • Giscard, c’est l’avortement. Giscard, c’est le regroupement familial. Deux décisions participant lourdement au déclassement de la France. Deux décisions de crâne d’oeuf.

  2. D’ailleurs beaucoup sont instruits (toutes ces grosses têtes, énarques etc) sont instruits mais très peu sont intelligents, cf macron et sa clique, des têtes bien pleines mais mal faites

  3. Ce qui est à pleurer de tristesse c’est que ce qu’il dit, honnêtement, ce n’est pas nouveau, c’est de sagesse Antique et nos anciens le savaient parfaitement.
    Dans leur nécropole de Saint-Denis, les rois de France se faisaient enterrer sous des catafalques aux allégories des vertus cardinales (Prudence, Justice, Courage, Tempérance) conscients qu’ils étaient de la nécessité d’avoir ces vertus pour être un bon roi. La plus éminente étant le Prudence, vertu de l’intelligence tournée vers l’action qui permet de discerner quel est le bon choix à faire. Saint Thomas d’Aquin (XIIIème siècle) l’avait dit bien avant : la prudence est la vertu nécessaire à celui qui veut commander.
    L’idée qu’il faut laisser aux gens un “espace de règne”, comme il dit, bien évidemment, c’est ce que la Doctrine Sociale de l’Eglise appelle “le principe de subsidiarité” : un échelon inférieur ne doit faire remonter au-dessus de lui QUE ce qui sort de son champ de compétences.
    Tout ça pour dire, que c’est très bien ce qu’il dit, mais ce qui me navre c’est qu’en fait, on le savait déjà, mais on l’a oublié par stupidité générale. Mais nos Anciens le savaient bien, eux. C’est ça que je trouve rageant. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi ni comment on a pu devenir aussi stupides aujourd’hui, alors qu’on est assis sur un trésor de sagesse bimillénaire. C’est tout simplement effarant.

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