Avec toutes les incitations à la débauche que propose notre société (politiques, médias, publicités, écoles…), l’Etat s’aperçoit de la propagation du virus du papillomavirus (HPV). Il s’agit de l’infection sexuellement transmissible la plus fréquente. Ce virus se transmet par contact cutané direct, le plus souvent lors de rapports sexuels.
Plutôt que de cesser d’inciter les collégiens à la débauche, le sinistre de la santé demande que le vaccin contre le HPV soit proposé dans tous les collèges publics (dès la classe de 5e). La participation des collèges privés ne se fait que sur la base du volontariat; Or, le sinistre s’perçoit qu’une minorité n’organise pas la vaccination.
Cette campagne, qui a démarré lundi 2 octobre, a été érigée en chantier prioritaire, en matière de prévention, par Emmanuel Macron. 1 500 collèges privés comptent s’engager, sur un total de 1 660 en France.
Denis
Voir émission intéressante sur radio Courtoisie ce matin à ce sujet : https://odysee.com/@LigneDroiteMatinale:8/table-ronde-papillomavirus:1?r=3sJTmnkPo5RpMrADS9C1CAgPrJ8T9TqL
Moi
Les collèges privés sont à 90% dépendant de l’enseignement diocésain. On voit où les évêques pus mènent.
AFumey
Les évêques n’ont qu’un contrôle limité sur les établissements catholiques, malgré les textes.
En pratique le véritable patron est le directeur diocésain et les instances nationales – investies depuis longtemps par des personnes hostiles à la doctrine catholique, et davantage encore chez les “représentants” nationaux des parents d’élèves dont le processus de désignation a été détourné.
Ceci explique en grande partie les dérives observées, comme la réduction progressive des prérogatives des chefs d’établissement – on en a vu des effets. Un exemple: le chef d’établissement catholique sous contrat n’est pas libre de choisir ses professeurs; conséquence observée: un nombre croissant de gauchistes anticléricaux, minoritaires mais bénéficiant du soutien des instances académiques.