Aude Mirkovic a été interrogée sur Radio courtoisie, suite au terrible accident causé par Pierre Palmade dans lequel un fœtus de six mois a été tué dans le ventre de sa mère.
Le point juridique réalisé par Aude Mirkovic montre à quel point notre système juridique est plein de contradictions. Espérons que ce drame affreux puisse contribuer à faire reconnaître l’enfant dans le ventre de sa Mère !
Collapsus
Pas du tout d’accord avec Mme Mirkovic, c’est bien la loi sur l’avortement qui provoque ces contradictions jurisprudentielles.
L’unité des principes guidant nos lois est rompue quand le meurtre d’un enfant dans le sein de sa mère est légalisé et incité d’un côté et quand il doit donner lieu à une indemnisation préjudicielle après homicide involontaire de l’autre. Si l’on attribue le statut d’être humain à la victime d’un accident, alors on doit l’attribuer à celui qui subit un avortement. Ce qui revient à qualifier officiellement l’avortement d’assassinat.
Collapsus
Pour être plus clair : la jurisprudence a décidé que le statut d’être humain ne pouvait être attribué qu’à un enfant naissant naturellement vivant, ainsi l’avortement ne pourra pas être qualifié d’assassinat. C’est avec cette argutie juridique bancale qu’elle estime à tort pouvoir préserver l’unité des principes de fond.
POMMIER
Si j’ai bien compris, il est permis de tuer un enfant à naitre, à condition que ce soit volontaire !
Arwen
Vous avez même tout compris.
Absurdité du désir fait roi…