Le procureur de la République de Dijon a souligné qu’il n’envisageait "nullement à ce stade d’ouvrir une information judiciaire" dans l’affaire Chantal Sébire. "L’enquête est loin de permettre cette ouverture d’information". Et pour cause :
"la première phase de l’enquête, qui consiste à porter officiellement à la connaissance de la famille le résultat de l’autopsie et des analyses biologiques, n’était pas à ce jour terminée […] à l’issue de cette première phase, il réexaminera les éléments de l’enquête pour apprécier l’opportunité d’ouvrir une enquête préliminaire pour rechercher les conditions dans lesquelles Chantal Sébire a pu se procurer le produit qu’elle a utilisé pour mettre fin à ses jours".
Alban
Eh bien voyons ! Comment n’y avions-nous pas pensé ?