Lu sur Mediapart un article intitulé «Le genre et la sexualité structurent la question climatique» :
Chercheuse américaine en sciences politiques, Cara Daggett propose une lecture féministe du climato-scepticisme. À travers le concept de « pétro-masculinité », elle démontre en quoi les énergies fossiles constituent un élément central de l’identité masculine dominante, mais aussi comment l’extrême droite gagne du terrain sur la question climatique.
Cara Daggett est professeure adjointe au département des sciences politiques de l’université publique de Virginia Tech (à Blacksburg, dans l’État de Virginie). Elle effectue ses recherches sur l’écologie politique féministe et se penche tout particulièrement sur les énergies fossiles.
Michel
Voilà une “professeure fossile” qui gaspille beaucoup d’énergie !…
Meltoisan
Bon : “Les cons ça ose tout, … ” écrivait Audiard. Apparemment, il faut que Médiapart utilise l’écriture inclusive pour qu’ils se rendent compte que cela s’adresse aussi à la gente féminine.
Faliocha
La gent féminine…de gens, gentis. On dit une gente dame, mais c’est un adjectif.
estebe
J’aime bien votre titre car parler de givrés pour le réchauffement climatique est cocasse, le froid et le chaud.
Collapsus
Vous auriez dû classer cet article dans la rubrique des cinglés.
F. JACQUEL
Les énergies fossiles sont-elles celles des mâles blancs de plus de 50 ans ?
Faliocha
Oui, ça doit être ça. Et qui votent à l’esstrême drouate en plus.
philippe paternot
les écolos dingos !
aujourd’hui ce sont les français qui influencent les américains !