Jeudi 20 mai, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a présenté un plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays «nous voulons être dans 30 ans».
Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu’à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d’impôts pour boire ou fumer.
Le document est désormais ouvert aux amendements des partis politiques, des autorités locales et régionales, des syndicats et des groupes d’employeurs, des organisations à but non lucratif et des universités.
Jipeo
Ils ont le gouvernement pour lequel ils ont voté en connaissance de cause avec en face hélas en seule force d’opposition d’un certain poids ce qu’Abscal appelait la “dercechita cobarde” (la petite droite peureuse).
Et qui connait l’Espagne sait parfaitement qu’il n’y a pas d'”izquiedita cobarde” (petite gauche peureuse). Le socialisme espagnol est un vrai socialisme révolutionnaire qui n’a pas changé depuis sa création e tensuite 1936. Alliés avec Podemos, ils assument en plus la partie communiste pure et dure. Avec de “belles figures” comme Isa Serra, députée Podemos à l’Assemblée qui balançait il y a peu des pavés sur les forces de police et en traitant les policières de p—s et filles de p—es ou sa collègue Rita Maestre de l’Assemblée de Madrid qui déboulait poitrine à l’air dans la chapelle de l’université de Madrid au cri de “adereis como en 36 !” (vos brûlerez comme en 36)…. Toutes deux à peine trentenaires et n’ayant de fait jamais connu la période franquiste ni de près ni de loin.
Meltoisan
Dans les années 1990, une collaboratrice de mon équipe m’appela en disant que son ordinateur était bloqué. Sur l’écran bleu, il était écrit « ENFIN LA PAIX ! »
Cela m’a fait éclater de rire et j’ai trouvé ça très drôle. Le virus pas méchant s’appelait « La Paix ! »
Aujourd’hui, sur le même principe, on imagine facilement un virus qui s’appellerait « LE BONHEUR » et qui ferait taire ces Khmers verts en s’affichant sur tous leurs écrans pour qu’ils nous fichent … la paix !
Meltoisan
Deuslovult
Au moins il avance à visage découvert…
Perspective navrante et bien éloignée des inspirations profondes de nos contemporains, il va être déçu
A.MOR
Le peuple qui a osé couper la tête d’un Roi, va traiter ses bouffons de manière féroce.
philippe paternot
travailler beaucoup plus, gagner moins, être plus taxé
les espagnols se francisent de plus en plus