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La tyrannie des normes, imposée par la technocratie européenne (au seul service de minorités activistes, incultes et fanatiques) et relayée par la république (gestionnaires gouvernementaux et parlementaires) sonne, comme le glas, pour notre agriculture. Tels des coups de marteau égrenés sur la cloche, les mesures de destruction du monde paysan s’enchaînent inexorablement d’une manière injuste, anti démocratique et avec un mépris détestable du peuple de France qui inévitablement va sombrer vers une pénurie qui ne touchera pas l’oligarchie qui nous impose ces règles, ces contraintes.
La cours de Justice de l’Union européenne, une fois encore, frappe en rendant illégale toute dérogation pour l’utilisation des insecticides néonicotinoïdes. Pourquoi sommes-nous pratiquement les seuls à tenir compte de ces décisions ? Cet acharnement maléfique tend à nous rendre dépendants et soumis. Il nous conduit droit vers l’abîme, celui qui nous mène à la disette, mère de pauvreté… Il faut seulement deux ans de répit pour nos paysans. La recherche est sur le point d’aboutir en vue d’un dérivatif. En attendant, rendons-nous à l’évidence, l’insecticide, parce qu’il est aujourd’hui planté dans la graine, ne présente aucun danger. Les abeilles ne butinent pas les fleurs des betteraves car les légumes sont cueillis avant la floraison. Les technocrates ne connaissent pas le monde de la ruralité, la terre et l’agriculture.
Les paysans en danger nous alarment en battant le tocsin, leurs tracteurs sur l’esplanade des Invalides, mercredi 8 janvier 2023, témoignent de leur volonté d’alerter nos compatriotes. L’interdiction va conduire à la pénurie de sucre, sinistrant au-delà de l’agriculture, une filière exportatrice, rentable jusqu’à ce jour, l’industrie, et les commerces. Les gestionnaires gouvernementaux restent lâchement sourds à la colère de nos fermiers. Les traîtres ne feront qu’ajouter des aides de l’Etat pour “compenser” financièrement, en réalité rendre dépendants, nos paysans et les cantonner à la mendicité.
Le sucre produit en Allemagne ou en Pologne est produit avec des substances non autorisées en France, donc à des coûts inferieurs amenant une concurrence déloyale par le seul fait de la félonie gouvernementale et de l’abandon de nos compatriotes. La production française va donc diminuer car, s’ajoute à l’addition, le prix du carburant, sans oublier le manque d’eau du à une gestion technocratique catastrophique.
Pourquoi ce suicide programmé, par la ploutocratie, de l’un des fleurons de notre pays : nos campagnes et nos paysans ? Ni plus ni moins qu’une sordide histoire de profits au bénéfice de ceux qui créent une règlementation qu’ils ne respectent pas eux-mêmes mais dont ils abusent éhontément pour nous dissoudre, sans enracinement, sans perspective et sans âme.
A force de maltraiter nos paysans notre souveraineté alimentaire est en danger… Arrêtons d’obéir à des instances judiciaires qui nous imposent une soumission à des puissances étrangères. La démocratie avec des choix, des décisions au plus près des terroirs s’impose. Le bon sens nous donne la subsidiarité pour répondre à l’hégémonie…
Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
AnneR
Ce que les paysans subissent depuis tant et tant d’années est inqualifiable!
Leur calvaire est silencieux, étouffé, et le taux énorme de suicides qui sévit dans cette profession n’émeut quasiment personne!
Nous vivons allègrement du fruit de leur travail, sans nous rendre compte de sa rudesse mais aussi de sa noblesse.
La doxa en col blanc, assise bien au chaud, grassement payée, pas inquiétée dans son travail ,elle, par les saisons capricieuses qui l’entraverait parfois gravement, qui a la sécurité de l’emploi, qui toucherait le chômage “au cas où”, qui a les congés payés, qui a les moyens de se payer un comptable pour “faire ses papiers”, qui aura une retraite confortable, itouuu…., cette doxa donc, se fait homicide (eh oui!), homicide car elle pousse au suicide nos paysans, c’est factuel! C’est très gravement factuel!
Soutenons les agriculteurs, éleveurs, les paysans de toutes nos forces, de toute notre tendresse, de toute notre reconnaissance en savourant les fruits de leur précieux travail à leur juste valeur! Et…dénonçons cette état de fait, sensibilisons autour de nous par le bouche à oreille, c’est ce qui je m’évertue à faire depuis longtemps!
Biritualiste
Cet article, malgré quelques faiblesses agronomiques, met le doigt sur le vrai problème de l’agriculture : la technocratie mondialiste. On pourrait même faire le parallèle avec la santé car là aussi, la médecine de famille fait place à une administration sanitaire technocratique.
Gaudete
Il n’y a qu’une chose à faire sortir du goulag européen
ThMortier
Bien sûr, la technocratie fait des ravages. Bien sûr les agriculteurs nous sont sympathiques.
Mais pourquoi s’obstinent-ils dans la soumission, via la FNSEA / JA (55% des suffrages) ? Pourquoi ont-ils toléré de vivre de subventions via la PAC ? Pourquoi se sont-ils engagés dans la course à qui aurait le plus gros tracteur, via le Crédit Agricole, organisation infiltrée par la maçonnerie ? Pourquoi croient-ils encore que la MSA défend leurs intérêts ?
Autrefois, ils sortaient les fourches.