Le 23 mai 2012, la Cour de cassation statuait sur le pourvoi formé par un employé du Crédit agricole, qui, après avoir conclu un pacte civil de solidarité (pacs) avec un autre homme, avait demandé en 2007 à son employeur de lui accorder les jours de congés et la prime accordés à ses collègues en cas de mariage, ce que l'établissement avait refusé. Le conseil des prud'hommes et la cour d'appel de Poitiers l'avaient débouté.
La Cour de cassation souligne que le refus de lui accorder ces avantages, en les réservant aux seuls salariés qui contractent mariage, constitue une discrimination liée à son orientation sexuelle, dès lors que les homosexuels n'ont pas le droit de se marier entre eux. Pourtant les homosexuels ont le droit de se marier, comme tout le monde, avec une personne de l'autre sexe.
La Cour ajoute qu'il convient de vérifier si cette différence de traitement en rapport avec l'orientation sexuelle des salariés peut être objectivement justifiée par un objectif légitime tenant aux différences qui existent entre les salariés contractant un mariage et ceux qui concluent un pacs. Elle renvoie à la Cour de justice de l'Union européenne l'examen de cette question.
Sancenay
comme diraient les intégros de la religion du progrès contre l’humanité que voilà une belle “avancée” révolutionnaire pour aller droit dans le mur, en destructurant un peu plus le tissu social!
btk
interessant de lire ce que Mgr Anatrella nous dit du Pacs entre autres.. gender, homosexualite, responsabilite des politiciens.. et ideologies du mal(in) et de l’eglise de france qui n’a pas su mobiliser ses ouailles pour se rendre a Milan..
a lire…
http://gabriellaroma.unblog.fr/2012/06/06/%c2%ab-la-theorie-du-genre-et-lorigine-de-lhomosexualite-%c2%bb-par-mgr-anatrella/
ainsi que les livres de Mgr Anatrella
incongru
et quelle plus grande discrimination pour les pauvres minables qui ne trouvent pas de “conjoint”, hétéro ou homo, et qui de ce fait ne bénéficient pas de ces jours de congés – seule solution équitable : on supprime ces jours!!!(nivellement par le bas, très en vogue)