Voici le début de l’article du Figaro à propos de la Gaîté Lyrique occupée par des immigrés :
La direction a tenu 79 jours. Depuis le 10 décembre dernier, jour où 200 migrants avaient investi les locaux de la Gaîté Lyrique, les salariés avaient tenté, bon gré mal gré, de continuer leurs activités, malgré l’arrêt total de la programmation. Ce faisant, les employés cohabitaient avec les squatteurs, fédérés en « Collectif des jeunes du parc de Belleville », qui avaient élu domicile au premier étage, à même le sol. Leur nombre s’est multiplié au fil des mois.
Le 26 février, la direction a finalement craqué et annoncé quitter les lieux, déplorant « une promiscuité intenable ». Selon elle, les conditions de vie « indignes » de ces migrants dans la salle culturelle généraient une situation « explosive », avec des violences « croissantes en gravité et en fréquence ». Une employée revient sur la goutte d’eau qui a fait déborder le vase : un départ de feu. Alors que les équipes étaient plutôt conciliantes envers les jeunes migrants depuis le début de l’occupation… […]
Le grand remplacement n’existe pas le Figaro parle d’occupation.
Il y a une semaine, le journal de gauche radicale StreetPress annonçait être contraint de déménager en urgence de ses locaux situés dans le théâtre de la Gaîté Lyrique, suite à l’occupation du lieu par des centaines de clandestins. Difficile d’être de gauche.