A quoi reconnait-on un socialiste ? A sa capacité de créer taxes et impôts. Anne Hidalgo, c’est le socialisme à l’état pur ou comment tuer ceux qui travaillent dur :
C’est une charge financière supplémentaire dont les bars et restaurants de Paris se seraient bien passés, alors même que les propriétaires de ces établissements attendent toujours de connaître le calendrier précis de réouverture. La mairie de la capitale a décidé d’un nouveau règlement des étalages et des terrasses (RET) qui met fin à la gratuité des extensions de terrasses éphémères qui – avec 9 800 autorisations délivrées – s’étaient multipliées à la sortie du premier confinement, il y a un an. Une mesure qui entrera en vigueur à partir de juillet, rapporte Le Parisien.
Anne Hidalgo a dû effectuer un rétropédalage dès ce matin…
Meunier
Dette dont l evaluation est discutable, car hildago, suivant Delanoë, a effectué un jeu comptable sur la cagnotte des hlm.
Avant leur manipulation, cette cagnotte était amortie sur 30 ans et considérée comme revenu annuel.
Hildago a simplement pris l ensemble des 30 années pour acquise dans son bilan. Belle manip a court terme, horreur a long terme. Un petit paquet de milliards a rajouter au passif, donc.
Gaudete
et qui dépense le fric si ce n’est cette rombière et ça veut se présenter à la présidentielle, pauvres parisiens qui n’ont pas voté pour cette mégère
Foudras
J’ai entendu le prêchi-prêcha de Mme Hidalgo ce matin. Elle parlait de 16 mois de gratuité, soit dit en passant ça paraît bien long compte tenu de la date de sortie du premier Grand Enfermement. Ensuite, le journaliste de service a été incapable de lui mettre dans les dents que sur les supposés 16 mois gratuits (plutôt 11 jusqu’à aujourd’hui), les restaurants et bars en sont déjà à 6 mois de fermeture obligatoire, et ce n’est pas terminé!!!
Des paroles mensongères pour tromper les auditeurs.
DUPORT
A quoi reconnait-on un socialiste ?
A son étonnante faculté à passer l’argent par les fenêtres sans jamais rien en faire de concret et à continuer de plus belle lorsqu’il n’y a plus d’argent du tout.