Suite au scandale du Médiator, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) a publié la liste de 59 médicaments qui ont été mis sous surveillance particulière pour le suivi des éventuels effets indésirables. Jeanne Smits en a relevé 2
- EllaOne, la «pilule du surlendemain», dont l'usage a été approuvé pour l'ensemble de l'UE en tant que contraceptif d'urgence. Le Parisien signale que «les risques identifiés sont l’augmentation de la pression artérielle, les grossesses extra-utérines et les atteintes du foie». L'AFSSAPS renvoie vers les informations potentiellement inquiétantes liées à l'utilisation humaine de cette molécule qui est réputée efficace pour éviter environ 3 grossesses sur 5 par rapport aux statistiques habituelles si elle est prise dans les 5 jours du rapport sexuel «non protégé» (c'est le délai maximum de survie des spermatozoïdes dans le corps de la femme en attendant l'ovulation et les 24 heures de durée de vie de l'ovule où la fécondation est possible). Outre des effets indésirables fréquents chez la femme, EllaOne est jugée dangereuse pour le fœtus en cas de prise alors que la femme est déjà enceinte : malformations possibles, risque d'avortement «spontané», …
- Gardasil. C'est le vaccin contre le col de l'utérus recommandé à toutes les jeunes filles dès 14 ans pour les protéger du papillomavirus humain – une MST dont le risque est associé à la promiscuité sexuelle. Il pourrait être dangereux en cas de grossesse.
CV
L’un et l’autre sont destinés à “faciliter” une vie sexuelle débridée. Le vaccin Gardasil est proposé avec beaucoup d’insistance aux jeunes filles; et les médecins traitants ne comprennent pas qu’on le refuse, sous entendant la naiveté des parents quant à une possible activité sexuelle d’une jeune fille de 14 à 18 ans. Aucun ne dit que cette forme de cancer est lié à une sexualité précoce et à des partenaires multiples; ce n’est qu’un scandale moral et médical de plus…
Vu de marcq
Nul besoin d’être biologiste pour savoir que toutes les techniques contraceptives sont anti naturelles et donc susceptibles d’altérer la santé. Or, malgré le diktat de la naturalite (chasse au paraben dans les cosmétiques, cultures bio…..etc.), en matière sexuelle on ne cesse de promouvoir ce qui n’est pas naturel….suivez mon regard !
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Parmi les “risques identifiés”, il y a surtout la mise à mort des enfants à naître.
Il est “curieux” que Le Parisien ne mentionne pas cela. C’est pourtant une évidence.
VD
Là, pour le coup, le principe de précaution s’impose !