Arrétez de persécuter l’Eglise de France ! par Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

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La persécution de l’église catholique de France atteint des proportions alarmantes par sa gravité et l’indifférence complice des gestionnaires gouvernementaux qui n’agissent que par condamnation verbale dans le cadre de leur communication politique. Les violences perpétrées à l’encontre de Sœur Marie-Anne et Sœur Agathe ont obligé celles-ci à quitter la paroisse de l’église Sainte Croix dans le centre de Nantes.

Les calvaires vandalisés, les statues déboulonnées, les cimetières profanés, la déprédation à l’intérieur des églises, les tentatives d’incendie de nos lieux de culte sur tout le territoire ne sont que la partie immergée des ignobles violences et destructions engendrées par la haine d’une poignée de barbares fanatiques qui systématiquement s’acharnent à détruire ce que nous sommes, nos traditions, notre patrimoine et notre culture.

Ces attaques méthodiques contre le catholicisme s’expliquent en réalité par une volonté de détruire notre passé et ses vestiges, afin de déconstruire ce que nous sommes et ce que nous voulons demeurer dans le futur. La plupart des atteintes, profanations ou destructions sont passées sous silence par une presse et des médias assujettis à une vision de la laïcité qui s’apparente plus à du laïcisme fanatique qu’à un juste respect de l’autre et de sa foi. Comment tolérer qu’un lieu sacré, d’amour et de paix, ouvert à tous puisse être saccagé par les haineux de la France, détestant nos compatriotes ?

Prêtres, fidèles ou religieuses assassinés, attentats ou tentatives d’attentats terroristes islamistes, les actes antichrétiens quotidiens font de l’église catholique le culte très largement le plus attaqué de France (et même d’Europe). La lâcheté et l’intolérance doctrinaire du régime actuel ne se focalisent que sur son aversion envers le catholicisme. L’interprétation de la loi de 1905 par les juges s’exerce systématiquement contre cette religion.

Les persécutions récurrentes par la république ou son immobilisme face aux malfaisants, donnent aux fidèles un sentiment d’abandon et d’impuissance avec une tentation d’abdication dans leur pratique de la foi. En obligeant les églises à fermer par la répétition des profanations ou pendant la période du virus chinois, en avançant le motif que le don d’amour et que la vérité de l’esprit dans le cœur de l’homme, ne sont pas des commerces essentiels, le mépris des gestionnaires gouvernementaux pour la foi, la dignité de l’être humain, l’âme qui prend sa source dans le cœur du paroissien, ont attisé le mépris et l’anticléricalisme des haineux endoctrinés par des concepts d’un autre temps qui de 1793 à nos jours ne cessent de véhiculer la violence, des populicides ciblés et la détestation de nos compatriotes.

Gestionnaires gouvernementaux et technocrates européens ! Combattez les actes antireligieux anti catholiques avec la même détermination que pour les autres confessions ce qui s’avère loin d’être actuellement le cas. Les annonces sans lendemain n’ont aucune crédibilité. Le bon sens réclame aujourd’hui de mettre en place une stratégie de lutte contre l’antichristianisme comme cela a été fait pour d’autres confessions bien moins attaquées. Ne pas protéger la liberté de conscience c’est la combattre…