D’Yves Daoudal :
On avait inventé une définition de la mort (la mot « cérébrale ») qui permette de prendre sur le mort (?) ses organes, dont le cœur toujours battant. Mais ça ne suffit pas. Les donneurs d’organes sont de plus en plus vieux, les salauds, avec des cœurs dont je ne vous dis pas l’état… Bref on ne peut rien en faire. Aujourd’hui il faut attendre un an pour avoir un cœur d’occasion correct, et un quart des demandeurs meurt avant… Il fallait faire quelque chose. On a trouvé : c’est simple, il suffit de prendre le cœur… avant la « mort cérébrale ». Et de réinventer la mort par arrêt cardiaque. Mais par arrêt cardiaque provoqué, et en utilisant une technique qui permet d’éviter l’ischémie, le stress qui rendait le cœur inutilisable jusqu’ici… C’est hallucinant, mais ce n’est hélas pas une blague. Voici comment ça se passe, au CHU de Liège. C’est une première prometteuse. Comme on dit dans les films, certaines scènes peuvent choquer un public jeune ou sensible :
Le professeur Defraigne explique qu’« en état de mort cérébrale, à cœur battant, il n’y a pas de souci d’ischémie ‘chaude’ préalable : on clampe l’aorte, on perfuse le cœur avec un liquide de conservation froid, ce qui provoque l’arrêt du cœur et le protège, on prélève le cœur que l’on place dans de la glace pour le protéger, puis on le réimplante ». Chez une personne en arrêt cardiaque, le protocole est différent : « le patient est installé au bloc opératoire, où sa ventilation mécanique est stoppée. Suivent une analgésie, puis la sédation de fin de vie ». Le cœur finit par s’arrêter de battre. On attend 5 minutes « pour vérifier l’absence ‘d’autoresuscitation’ cardiaque ». Le cœur est ensuite réanimé « à même la poitrine du donneur », à l’aide d’une assistance circulatoire durant une trentaine de minutes. A l’issue de ce temps d’observation, le prélèvement est réalisé puis l’implantation chez le receveur.
Une histoire du même tonneau illustrant cette mentalité euthanasique répandue dans le monde “médical” se déroule au CHU de Caen, qui avait fait savoir aux parents de Léah qu’à la prochaine crise d’épilepsie de leur fille, atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance, ils ne la soigneraient pas, conformément aux dispositions de la loi Leonetti. Les parents ont saisi le tribunal et celui-ci a intimé l’ordre au CHU de soigner Léah, car elle n’est pas en fin de vie et son cas ne relève pas de la loi Leonetti.
DUPORT
On ne prélève pas d’organes sur un mort…
Tous les prélèvements d’organes se font avant que le patient ne soit mort.
Une fois la main dans l’engrenage… Toutes les dérives s’opèrent.
Tout comme pour les médecins et infirmières dont on apprend régulièrement qu’ils euthanasient leurs patients depuis des années…
F. JACQUEL
J’ai perdu mes parents dans les circonstances suivantes :
1/ Maman, la 1ere, à l’Infirmerie protestante de Caluire (69), le 27 janvier 2008, dans la chambre 421. Alors qu’elle etait sous perfusion depuis plus de 2 semaines, donc ne se nourissait plus normalement, elle se vit rajouter une perfusion, soit-disant de Mopral pro pour faciliter sa digestion. 50 minutes plus tard, elle nous avait quittés.
2/ Papa, hospitalis6dans le même service, à la chambre 424 (juste en face de la précédente), après avoir survécu à 4 jous de perfusion d’Hypnovel, nous a quitté au petit matin du 10 avril 2015, alors que, après avoir veillé sur lui 24/24 les 10 jours précédents, j’avais pris un nuit de repos.
Dans les 2 cas, j’accuse l’Infirmerie protestante d’avoir donné le coup de pouce pour se débarrasser de 2 patients âgés respectivement de 83 et 89 ans.
DUPORT
Je confirme tout cela fait partie du génocide du peuple français au même titre que l’avortement, le suicide assisté etc.
Mon jardinier a été liquidé comme cela.
Emmanuel
Et on parle encore de “donneurs” d’organes … Mais où est le “don”, bon sang ?
La REM, La République En Mensonges !