Ayant déclaré, lors de son discours d’investiture le 23 janvier, que "notre place se trouve au sein de l’Union européenne", on comprend mieux pourquoi nos médias ont soutenu mordicus la candidature de Viktor Iouchtchenko à la présidence de l’Ukraine. Et la vice-présidente de la commission européenne a approuvé en affirmant que l’adhésion de l’Ukraine constituait "une vision réaliste pour l’avenir".
Il est vrai que lorsqu’on a admit le principe d’une entrée de la Turquie, l’adhésion de n’importe quel autre pays est forcément plus réaliste…