De Grégor Puppinck, docteur en droit et directeur de l’ECLJ, sur L’Homme Nouveau :
Il ne suffit pas de mener un bon combat, encore faut-il combattre sur le bon terrain. Les soldats et les politiciens le savent bien, le choix du terrain confère un avantage stratégique, qui peut se révéler déterminant. Cela est vrai aussi du combat sur l’avortement. Plutôt que d’accepter le combat sur le terrain idéologique des droits de l’homme, nous devrions le ramener sur celui, humain, de la politique sociale.