Samedi dernier, le Président du Chili, Gabriel Boric, a annoncé devant le Congrès qu’il donnerait un « caractère d’urgence » au projet de loi sur l’euthanasie et les soins palliatifs actuellement examiné par le Sénat chilien.
En outre, Gabriel Boric a jugé nécessaire « un débat démocratique sur les droits sexuels et génésiques ». Il a déclaré que l’Exécutif chilien, à qui il reste moins de deux ans de mandat, présentera un projet de loi sur la légalisation de l’avortement au cours du second semestre de l’année 2024. Depuis 2017, l’avortement a été dépénalisée dans trois cas : le danger pour la vie de la mère, la malformation du fœtus et le viol.
Le Gouvernement n’a toutefois ni la majorité à la Chambre des députés, ni au Sénat. Ces annonces seraient donc surtout « des signaux adressés à son électorat ».
L’actuel maire de Providencia et candidat à la présidence du pays en 2026, Evelyn Matthei, a qualifié de « honte » ce « manque de vision pour l’avenir ». « Le Chili a d’autres urgences et d’autres besoins ».
cadoudal
il doit y avoir une consigne maçonnique universelle pour implanter des cocotiers à secouer dans toutes les EPAD.
c’est trop bien concerté.
C.B.
“consigne maçonnique universelle” ou OMS?
C.B.
dans ma réponse à l’instant, j’aurais dû préciser que “ou” n’est pas nécessairement exclusif…